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Forum Fulcanelli - Page 2
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| | | | Intervention du 14 mars 2000, de Jacky Minier
Pour étayer cette idée "d'école de pensée" ou "d'identité collective" à propos de Fulcanelli, il suffit de se remémorer dans le même esprit que si l'on a la certitude qu'une "Ecole Pythagoricienne" a existé dans la Grèce antique, on n'a aucune certitude de l'existence d'un homme qui se soit appelé Pythagore... Au contraire ! Ce nom ayant une signification à tiroirs (exactement comme Fulcanelli) exprime davantage un moyen d'initiation qu'une identité propre. Le genou d'Or, le nombre d'Or, etc... le compas et la science des nombres qui en découle ! Je ne suis sûr de rien, évidemment, mais je suis d'avis que pour Fulcanelli c'est exactement la même chose, et que cette course au mystère pour en découvrir la véritable identité doit bien faire marrer les gens qui s'en servent !... si tel est le cas... ;o) [NDW: Cela ne vous rappelle pas l'histoire de Rennes-le-Château? ;-) ] | | | | Intervention du 13 mars 2000, de Jacky Minier
Félix Trombe fut certainement un homme fort intéressant qui a développé des idées riches de promesses en matière d'utilisation du solaire dont certaines sont encore complètement ignorées de l'intelligentia scientifique et universitaire. J'ai eu le plaisir de discuter quelques minutes avec lui quelques temps avant sa mort vers la fin des années 80. Ce ne peut pas être lui Fulcanelli bien sûr. Si l'on en croit Pauwells (Le Matin des Magiciens), Jacques Bergier aurait rencontré Fulcanelli à la fin de la guerre (39/45). Et si Bergier est encore jeune à cette époque, l'homme décrit dans leur bouquin est déjà très vieux. Il semble qu'ils n'aient pas parlé de solaire, mais de nucléaire ! D'un certain point de vue c'est la même chose vue par l'autre bout de la lorgnette. Cet homme a disparu apparemment, et on ne saura jamais qui il était à l'état civil, ni s'il était vraiment Fulcanelli. Fulcanelli pourrait-il ne pas être un seul homme mais une identité partagée que se repasseraient de l'un à l'autre des gens discrets ?
La piste italienne est peut-être intéressante à suivre, en effet. C'est en Italie qu'on fait les recherches les plus poussées sur une des particules les plus énergétiques qu'on puisse imaginer. C'est aussi un labo de chercheurs italiens qui a trouvé le procédé de la "fusion froide", tellement proche de l'alchimie qu'ils se sont mis le monde entier à dos...
[NDW: L'idée de Fulcanelli comme nom d'une "école" ou d'un "courant philosophique" n'est pas à négliger. Dans ce cas, cela explique l'immortalité du maître, qui n'a plus de forme (être de lumière) mais reste personne physique (Bergier l'aurait rencontré, Canseliet le vit lors d'une réception en Espagne dans les années 1950 - il ne le reconnut pas immédiatement, c'est le Maître qui se fit reconnaitre à lui). Cela donne aussi de la matière à la controverse sur l'ouvrage récemment publié sous le nom de Finis Gloria Mundi, rédigé et transmis à travers Internet par Fulcanelli lui-même, et parrainé par des personnes du milieu alchimique très respectables (en particulier Jacques d'Arès)... jusqu'à ce que ces personnes aient été méprisées pour avoir cru dans la survivance de Fulcanelli. Nous ne nous prononcerons pas à ce sujet, n'ayant pas assez d'éléments, mais cela donne néanmoins matière à réflexion...] | | | | Intervention du 5 mars 2000, de Salilus
[Remarque préalable du Webmestre:
la révélation qui suit est à considérer comme une réponse aux informations
révélées au compte-gouttes sur le site www.fulcanelli.com.
Mais ces mêmes informations n'ayant pas de source vérifiable pour
le moment (en auront-elles un jour?), le nom qui suit n'est pas
à considérer jusqu'à preuve du contraire comme LE Fulcanelli. Pour
développer le sujet, il est conseillé de lire nos réflexions
sur le nom profane de Fulcanelli.]
Bonjour à tous !
Ci-après une petite contribution susceptible d'intéresser les "Fulcannellâtres" ;-)
Bonne recherche !
VIOLLE (Jules), physicien français, né à Langres en 1841, mort à Fixin, prés de Dijon, en 1923.
Ancien élève de l'Ecole normale supérieure de Paris, il prit le grade de docteur ès sciences en 1870 ; il fut successivement professeur à la faculté des sciences de Lyon (1883), puis maître de conférences à l'Ecole normale supérieure (1890). En 1891 il fut également professeur au conservatoire des arts et métiers. Il proposa l'étalon de lumière qui porte son nom (1881). Il inventa, en 1882, le calorimétre à refroidissement, dont le principe a conduit à la fabrication des bouteilles isolantes. On doit à Violle une nouvelle théorie des geysers ; des recherches sur l'origine de la grêle, et les moyens de la combattre ; l'exploration de l'atmosphère par ballons-sondes. Membre de l'Académie des sciences en 1897, en remplacement de Fizeau. Citons son Traité de physique, qui fit autorité ; aussi ses belles expériences sur la température du soleil, et sur la détermination de l'équivalent mécanique de la chaleur. Jules VIOLLE eut cinq fils, James (né en 1876), Bernard, (né en 1877), Louis, (né en 1881), Henri (né en 1882) et Gabriel, (né en 1888). Henri fut médecin et James Intendant Général des Armées.
Pour mémoire : VIOLLE (ÉTALON), source lumineuse constituée par un centimétre carré de la surface d'un bain (le platine en fusion rayonnant normalement à la température de solidification : L'étalon Violle vaut 20 bougies décimales.
Je joins ci-après un extrait des oeuvres de Jules Violle, pouvant être consultées à la Bibliothèque Nationale de France
Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Jules (Louis-Jules-Gabriel) Titre(s) : J. Violle,... Du Rôle de la physique à la guerre. De l'avenir de nos industries physiques après la guerre... [Texte imprimé] Publication : Paris-Nancy : Berger-Levrault, 1915 Description matérielle : In-12, 92 p., fig. Note(s) : Conférences faites au Conservatoire des arts et métiers à Paris, les 10 décembre 1914 et 11 février 1915. - Pages d'histoire 1914-1915, n° 66 Notice n° : FRBNF31589958 Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Jules (Louis-Jules-Gabriel) Titre(s) : Une expédition au Mont-Blanc, par M. Jules Violle... [Texte imprimé] Publication : Paris : impr. de J. Claye, 1875 Description matérielle : In-8° , 15 p. Note(s) : Extrait de la "Revue des Deux Mondes", 1er novembre 1875 Notice n° : FRBNF31589960 Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Jules (Louis-Jules-Gabriel) Titre(s) : Une expédition au Mont-Blanc, par M. Jules Violle... [Texte imprimé] Publication : Grenoble : impr. de Maisonville et fils, 1876 Description matérielle : In-8° , 22 p. Note(s) : Extrait de la "Revue des Deux Mondes", 1er novembre 1875 Notice n° : FRBNF31589961 Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Jules (Louis-Jules-Gabriel) Titre(s) : Rapport sur la nécessité de l'application exacte du système métrique décimal à toutes nos monnaies... par M. Violle... [Texte imprimé] Publication : Paris : Gauthier-Villars, (s. d.) Description matérielle : In-4° , 7 p. Note(s) : Institut de France. Académie des sciences. Extrait des "Comptes rendus des séances de l'Académie des sciences", t. 146, séance du 16 mars 1908. - Dédicace ms. de l'auteur à M. Mazerolle Notice n° : FRBNF31589957 Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Jules (Louis-Jules-Gabriel) Titre(s) : Sur la radiation solaire, rapport sur la question 19 du programme pour le Congrès météorologique de Rome: Y a-t-il eu depuis le premier congrès des expériences décisives donnant une méthode simple et exacte pour mesurer la radiation ? Quelle relation y a-t-il entre la radiation et la quantité de vapeur contenue dans l'atmosphère ? Par M. J. Violle,... [Texte imprimé] Publication : Paris : Gauthier-Villars, 1879 Description matérielle : In-8° , 76 p. Note(s) : Extrait des "Annales de chimie et de physique", 5e série, t. 17, 1879 Notice n° : FRBNF31589959
Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Violle, Louis Titre(s) : Recherches expérimentales sur l'acidose. Contribution à l'étude de la pathogénie du coma diabétique [Texte imprimé] Publication : Paris1910 Description matérielle : In-8 ° Note(s) : Paris, 1909-1910 Th. : Méd. : Paris : 1909-1910 Notice n° : FRBNF36940056
| | | | Intervention du 12 février 2000, du Webmestre
Pour Daniel: Trombe est intéressant, mais ça ne colle pas au niveau des dates. Pour Troubadour: Vous avez mis le doigt, peut-être inconsciemment, sur un point crucial du mystère Fulcanelli: En effet, Fulcanelli sonne... italien. Et la fraternité d'Héliopolis veut tout simplement dire la fraternité de la Cité du Soleil. Or il existait au Moyen Age une école italienne d'Art de la Mémoire, qui "inclut" des outils comme la langue des oiseaux, et qui rédigeait des oeuvres écrites ou visuelles, souvent métaphoriques, ou caricaturales, comme support à cette technique de mémoire artificielle. Entrer dans les détails demanderait une étude complète à elle seule (ce qui n'est pas impossible).
Toujours
est-il qu'un certain Campanella fut l'auteur de la "Cité du
Soleil", cité circulaire en 7 anneaux... et ouvrage support
de l'Art de la Mémoire. Une théorie voulant que Fulcanelli soit
un nom-école en référence à l'Art de la Mémoire dont l'Art Gothique,
avec ses figures caricaturales, fut un support certain (voir notre
étude sur Villard de
Honnecourt). Nous vous tiendrons au courant de toute progression
dans cette hypothèse, toutefois remarquez la citation Uber Campa
Agna (Campanella?) et le fait que Canseliet, le disciple de Fulcanelli,
se disait le descendant spirituel d'un italien auteur d'une oeuvre
en Art de Mémoire.
Je cite le site Contrepoints: "Première des deux logis alchimiques étudiés par Eugène Canseliet dans "Deux logis alchimiques" la Villa Palombara dont on ne peut voir aujourd'hui que le vestige d'une porte scellée à Rome situé au jardin public Victor-Emmanuel n'en reste pas moins une énigme et n'a pas perdu de sa dénomination de "magique". Magique est en effet la porte par ses inscriptions hermétiques liées au milieu Rose-Croix du XVIIème siècle mais magique aussi par la façon dont Eugène Canseliet fut amené à la connaitre. En effet vers l'âge de 13 ou 14 ans Eugène Canseliet fit un songe au cours duquel une phrase latine s'imposa avec une telle force qu'il fut contraint de se réveiller afin de la consigner dans un carnet réservé à cet usage et à portée de main sur sa table de nuit. Cette phrase disait en substance : "Quando in tua domo nigri corvi parturient albas columbas tunc vocaris sapiens" "Quand dans ta demeure les noirs corbeaux auront donné naissance à de blanches colombes, tu seras appelé sage". Le rêve fut consigné et ce n'est que vingt ans plus tard lors d'un diner à Vincennes dans le cadre des activités d'Atlantis, qu'Eugène Canseliet constata dans le bureau de Paul Le Cour une petite photographie qui fit resurgir à sa mémoire le rêve de son enfance. Paul Le Cour qui - le premier - s'était intéressé à l'énigme de la villa Palombra et de sa porte magique avait prévu d'écrire une monographie à ce sujet. Il révéla donc à Eugène Canseliet qu'il s'agissait d'une demeure philosophale à la manière de celles traitées déjà par Fulcanelli et que celle-ci avait été frequentée par la reine Christine de Suède (1626-1689) lors de son séjour à Rome au palais Riario (1658) après avoir abandonnée son trône pour y découvrir la couronne de l'Adeptat. Au nombre des personnes qui assistaient aux réunions de la Reine figurait le Marquis Maximilien Palombara, celui-là même qui fit exécuter les étranges inscriptions de la petite porte et d'autres encore dans la villa qui surmontait la colline de l'Esquilin. De tout ceci nous n'en saurions rien aujourd'hui si un opportun savant archéoloque n'avait effectué en temps utiles et avant la démolition de la villa les relevés qui servent aujourd'hui à ce présent travail. Le nom de ce précieux homme sans qui nous aurions été privé de la connaissance de cette personne n'est autre que Francesco Girolamao Cancellieri dont il convient de noter l'exacte homonnymie avec celui de l'auteur qui devait en faire une plus ample description : Canceliet. Pourtant sur ce sujet pas une remarque ni une allusion : en fait ce silence est bien plus révélateur qu'il n'y parait car il est l'explication aussi de cette énigme. Et si Canceliet était tout simplement le double d'une métemsomatose ayant pour origine l'éminent Can-ce-llie-ri dont on remarquera aussi au passage et à l'oreille l'etrange résonance familière de Ful-ca-ne-lli. " A ne pas interpréter à la lettre, mais à noter l'insistance des sonorités italiennes dans cette histoire... Pour les gens intéressés, une référence indispensable: l'Art de la Mémoire, par Frances Yates (Gallimard). Tout simplement un chef d'oeuvre.
| | | | Intervention du 12 février 2000, de Trouble adour cluz
Du blason de fulcanelli : l'écu final ou le cul final Utilisons le miroir pour obtenir en vert ( à l'inverse ) : la lux originelle...
Le cheval marin, cette rosse aquatique, une rose d'eau, un canasson d'eau... Qui est donc ce personnage qui porte une "canne à son dos" ? le baluchon du fou ? mais ce cheval marin ne serait il pas une carne navale ?
Le carnaval : le masque est il prêt de tomber ? Fulcanelli et venise...
| | | | Intervention du 8 février 2000, de Daniel
Fulcanelli (Vulcain-Hélios), a côtoyé Pasteur et a oeuvré dans le domaine des fours solaires. Un nom me vient à l'esprit : TROMBE.
Cordialement Daniel
| | | | Intervention du 27 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz
Bon rois
R.Khaitzine parle de Roussel comme instiguateur d'une trame commune ( initié par fulcanelli ) reprise par des auteurs tels que Maurice Leblanc.
Prenons donc Arsène Lupin, anglons-le en anagramme : ARSENE LUPIN = SUPRA LINEN = la toile supprème ou la trame ultime ( l'histoire du UN ? )
En allant voir de côté de la lune : ARSENE LUPIN = PEN IS LUNARE = le stylo lunaire ( le crayon vert = c le rayon vert ? Jules Vernes dans la lunette... ) ARSENE LUPIN = LUNARE SPINE = la colonne vertébrale lunaire ( une ligne verticale spirituelle !!! )
En allant jusqu'à l'astre divin, but de tout héros solaire : ARSENE LUPIN = REAL SUN NIP = la véritable morsure du soleil ? ( ce n'est pas le rouge du coup de soleil, mais l'or de la divinisation... )
Mais finalement ARSENE LUPIN = LEARN IS PUN ou le mot PUN = jeu de mot, calembour ( le verbe to PUN : faire des calembour ) faire des jeux de mots c'est apprendre... Ainsi on retrouverait notre langue des oiseaux avec son art des jeux de mots ARSENE LUPIN serait donc en version anglé : LA CONNAISSANCE PAR LA LANGUE DES OISEAUX !
| | | | Intervention du 25 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz
L'encyclopaedia universalis cite ROSNY AINE J-H comme candidat pour l'identité de FULCANELLI... quelqu'un aurait-il une piste en ce sens ?
Fulcanelli ou Canseliet ?
Fulcanelli où can se lie t les trois lettres c,a et n sont liées en une seule, un t fulcanelli(canseliet)= fultelli = flutille
Flute revoilà donc champagne canasson, canne à son, flûte
Sinon revenons au volatile d'outre manche, l'anglé : Fulcanelli = full can lie ( le plein pouvoir du mensonge ? ) fun-call-lie( l'amusant appel du mensonge... ) lucien fall ( lucien chute ) i clean full ( je nettoie plein ) all nice flu ( toutes les belles grippes ) FALL IN CLUE ( tiens ce dernier anagramme rappelle l'idée de Khaitzine parlant d'un groupe rassemblé pour produire quatre histoires suivant le même fil conducteur ! FALL IN = former les rangs ( rassemblement au sens militaire ), CLUE = indice ou fil conducteur )
et il y a bien d'autres possibilités
Fulcanelli, fut le khan et le i, à la fois empereur et pape ?
| | | | Intervention du 18 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz
Sieur philosophe
A la lecture de votre étonnant site ( quelle rigueur mais non rigidité, bravo ) je relisais le mystère des quatre dalles :
p. 197 "...sujet grossier (un argoteux, qui parle mal ou plus exactement à l'envers, car allant vers, donc un lunaire ) de l'Oeuvre...magnésie lunari i ( quelle coïncidence avec mes dernières interventions ludiques )... ou plomb des sages, saturnie végétable ( je ris : saturne végétale = sa tourne vert, vert car la chlorophyle au magnésium des végétaux, cf forum du rébus )... propriété aimantine et attractive du soufre ( ohoh, retour de la pierre aimante, mais intrusion du soufre : celui qui souffre, l'homme rouge ? le martien ferreux attiré vers le haut, le FeO = la magnétite !!!? )... ce minéral a.. le signe... du bélier( voilà un cornu bien particulier, les cornes sont escargotiques, le B lié ou le bel y est? ) ARIES ( tiens si je met un peu d'esprit dans le dieu de Mars, ARES+I=ARIES ) ".
à bientôt
| | | | Intervention du 17 novembre 1999, de Hervé DELBOY
Chers amis,
Je propose sur mon site quelques remarques concernant Fulcanelli http://perso.club-internet.fr/hdelboy/
Amitiés,
| | | | Intervention du 17 octobre 1999, de Troubadour Cluzel
Je viens de lire de curieuses affirmations sur l'identité de Fulcanelli ( site contrepoints.com ) J'en profite pour agrémenter une de mes interventions antérieures
Fulcanelli Quatre hypothèses pour quatre éléments
Terre : La plus terre à terre Fulcanelli est un seul homme dont l'identité reste à trouver . bientôt ( si ce n'est déjà fait selon certain...un certain rené...ou pour d'autres un docteur pierre P. )
Air : elle manque pas d'R : Fulcanelli n'est pas une personne unique mais l'emblème d'un groupe de personnes ( camille flammaRion, Raymond Roussel, maRie adolphe caRnot, gaston leRoux, alfRed jaRRy, mauRice leblanc, pieRRe dujol, feRnand RozieR, etc. )
Eau : Celle qui rend éternel : Fulcanelli a eu plusieurs vie ( ou a encore ). Sa véritable identité change donc au cours de l'histoire
Feu : Elle sent le soufre : Fulcanelli est une entité, un esprit,., une chose qui peut être plusieurs personne ( voir en même temps )
trouble adour cluz
| | | | Intervention du 21 juillet 1999, de Troubadour Cluzel
Bon jour sieur de Fontaine
La métaphysique > physique amétal > la matière sans métal...
1 est immobilité ? or 1 = I = i le fameux principe divin qui descend ( la chute de l'un qui devient trois, E, en ter, sur terre ) Donc du point unique, le fameux point du "i" sort la verticalité descendante L'homme issu de ce i minuscule doit faire le chemin inverse > un-verse > un-chute... L'immobilité est alors mouvement descendant, qui certes doit redevenir ascendant, le i minuscule doit redevenir i majuscule donc le I ( 1 ) D'ailleurs j'en profite pour rebondir sur verseau > verse eau > vert sceau mais aussi vers haut > vers O, vers le tout, donc vers le UN, le juste retour : Un-verse en vers-Un, la chute d'adam prendrait-elle fin à l'ère du verseau ??? l'homme rouge deviendrait il enfin homme vert "vert-sceau" ( le sceau divin, l'ourobouros ? ), à l'échelle de l'humanité, au prix d'un bouleversement aqueux "verse-eau" ???
| | | | Intervention du 15 juillet 1999, de Gérard de Fontaine
"Un certain René...", dites-vous ami Troubadour ! Guénon ;-) ???
En tout cas, J'aime vraiment beaucoup cette idée de l'an O nyme. C'est le "1" Inconnaisable et parfaitement immobile. Comme a dit je ne sais plus qui : "le "1" n'est le siège d'aucun mouvement, il ne se pense même pas lui-même, c'est son hypostase qui LE pense pour lui".
Exit le O de la perfection, l'Inconnaissable s'anime (s'an-yme) et devient mouvement... Oui mais, avec le mouvement nait l'imperfection, la matière, la solidification chère à Guénon. La sagesse serait donc bien de ne pas chercher à savoir, ceci sous peine de déformer l'image même de ce que l'on veut connaître et donc de ne jamais pouvoir la connaître.
Certains ne manqueront pas de faire un parallèle avec la théorie quantique. Quoi qu'il en soit, nous entrons là de plein pied dans la métaphysique. C'est bien normal, à un moment ou un autre, tout nous y ramène.
| | | | Intervention du 24 juin 1999, de Troubadour Cluzel
Parmi les prétendants FULCANELLIens : marie-adolphe carnot ( le bourrique aquatique ) camille flammarion ( la flamme noire ) fernand rozier ( la rose y est ) un des fils de Lesseps ( oui mais lequel ? ) un certain rené ( qu'elle patronyme possible ? ) et bien d'autres ( envoyer vos suc-geste-ions ) comme si le maître devait rester ANNONYME pour pouvoir chanter l'hymne de l'anneau ( le O de la pl´nitude, celui du Tout )
| | | | Intervention du 29 mai 1999, de Troubadour Cluzel
Contes et copttines pour enfant
enfant: pas physique = petit adulte mais spirituel = novice voilà donc peut-être des histoires pour apprenre à grandir ( intérieurement... ) où trés souvent il faut vaincre ses peurs et faire face aux sept défauts humains ( la gourmandise comme dans en-sel et grès-tel, les sept nains les chachent-ils ou personnifient-ils ceux de blanche,l'ève qui mange la pomme maudite offerte par le mal-sorcière, déguisé non pas en serpent )
En tous les cas, volatiles ou non, ils véhiculent des symbôles récurrents et des archétypes révélateurs
Pour les symbôles la belle et la bête : une rose sous verre pour un coeur dur, la bête,l'homme rouge,innaccompli, qui doit apprendre l'Amour pour conquérir la belle, son humanité
pour les archétypes "au clair de la lune, mon ami pierrot" Le croissant de lune, symbôle de divinitées associées à la colombe ( au moins déjà à l'époque sumérienne ) il est amusant de noter que colombine est l'amie du dit pierrot ) d'ailleurs pour les symbôles que penser de "prette moi ta plume pour écrire un mot" ( plume d'oie, à rapprocher d'ouir, de celui qui sait entendre, écrire un mot à la plume est donc écrire en langue des oiseaux, il faut donc y voir un texte codé en langue des philosophes ) ma chandelle est morte, je n'ai plus de feu ( le symbôle de la chandelle, hermétique, permet aux initiés d'être éclairés, d'apprendre ) "ouvre moi ta porte pour l'amour de dieu" ( voilà donc le but à atteindre, la porte des cieux, le divin qui est en soit, la solution étant en son coeur, l'Amour )
les jeux pour enfants sont aussi des supports de chemins spirituels ou philosophiques : la marelle ( il faut partir de la terre pour arriver au ciel, en sept sauts, septième ciel, sept étapes alchimiques, les sept jours dela création du monde, où il ne faut pas perdre pied, le caillou lancé qui ne doit pas sortir des cases aurait certainement beaucoup à dire )
le jeu de l'oie ( toujours ouïr, oyé-oieil d'ailleurs amusant de noter la permutation du i latin en y grecque, langue source du langage des oiseaux d'aprés Fulcanelli ) il faut donc savoir lire les symbôles cachés derrière ce jeu, cette spirale dont il faut atteindre le coeur, toujours ce Coeur où se cache le divin...( combien y a t'il de cases dans le jeu de l'oie ??? ) L'oie reste prépondérante,les fées à la patte d'oie ( le pied gauche de ces femmes étaient une patte d'oie ), comme pour les contes de ma mère l'oie ( ma mère= ma génitrice, ma matrice, mes origines ) l'oie est l'oye ( la langue originelle, le verbe )
| | | | Intervention du 15 mai 1999, de Troubadour Cluzel
Sieur de Fontaine,
J'applaudis de mes deux L : Quel effet, les fées reflet des faits ! Les contes pour enfant ont bien des choses à dire mais nos yeux ne sont plus capables de voir. Laissons notre coeur entre-voir comme Alice le fit aux pays des merveilles, perce-vent les fumées orientales, devrais-je dire orient-thé, de la chenille, chêne-elli, experte en langage volatile...
| | | | Intervention du 14 mai 1999, de Gérard de Fontaine
En d'autres lieux, je parlais de la nécessité d'avoir "un regard d'enfant" pour appréhender certains mondes, celui des fées est de ceux-là. Et plus j'y pense, cher Troubadour, plus ce monde des fées m'apparait comme le reflet inversé ("N"?) de celui des... faits.
| | | | Intervention du 12 mai 1999, de Troubadour Cluzel
D'après Fulcanelli, la langue française puiserait son origine dans le grec ancien. voilà que j'apprends qu'un personnage ( dont GEAI oublié le nom, cervelle de MOINEAU doublé d'une tête de LINOTTE que je suis ) a étudié le language des fées et en a rapproché les sonorités de celles du grec archaïque
Décidément les coïncidences ont la vie dure
Ces fées, énergies naturelles personnifiées , n'auraient elles donc pas de liaisons symboliques avec les forces naturelles mis en oeuvre par les alchimistes ?
| | | | Intervention du 30 avril 1999, de Karl Onyx Horth
Par l'éclair ? Impossible ! Car il y a dans ce célèbre extrait tiré du "matin" (car mal dormi :-) l'invisible et pourtant nécessaire soupçon de causticité que requiert ladite manipulation.
En somme, une récréation, ou mieux encore, une re-création où l'enfance est initialement de mise. C'est la mère substitué(e) qui se joue de toutes les incertitudes, fussent-elles élevées au rang de principe.
Karl Onyx Horth
| | | | Intervention du 29 avril 1999, de Gianluca
Extrait du matins des magiciens ou Jacques Bergier pense être en présence d'un alchimiste véritable, un vrai maitre : Fulcanelli. A la fin de l'entretien Jacques Bergier..."se permit de poser une question :
"Si vous êtes alchimiste vous-même, Monsieur, je ne puis croire que vous passiez votre temps à tenter de fabriquer de l'or, comme Dunikovski ou le docteur Miethe. Depuis un an, j'essaie de me documenter sur l'alchimie, et je nage parmi les charlatans ou les interprétations qui me semblent fantaisistes. Vous, monsieur, pouvez-vous me dire en quoi consisitent vos recherches ?
- Vous me demandez de résumer un quatre minutes quatre mille ans de philosophie et les efforts de toute ma vie. Vous me demandez en outre de traduire en langage clair des concepts pour lesquels n'est pas fait le langage clair. Je puis tout de même vous dire ceci : vous n'ignorez pas que, dans la science officielle en progrès, le rôle de l'observateur devient de plus en plus important. La relativité, le principe d'incertitude vous montrent à quel point l'observateur intervient aujourd'hui dans les phénomènes. Le secret de l'alchimie, le voici : il existe un moyen de manipuler la matière et l'énergie de façon à produire ce que les scientifiques contemporains nommeraient un champ de force. Ce champ de force agit sur l'observateur et le met dans une situation privilégiée en face de l'univers. De ce point privilégié, il a accès à des réalités que l'espace et le temps, la matière et l'énergie, nous masquent d'habitude. C'est ce que nous appelons le Grand OEuvre.
- Mais la pierre philosophale ? La fabrication de l'or ?
- Ce ne sont que des applications, des cas particuliers. L'essentiel n'est pas la transmutation des métaux, mais celle de l'experimentateur lui-même. C'est un secret ancien que plusieurs hommes par siècle retrouvent.
- Et que deviennent-ils alors ?
- Je le saurai peut-être un jour."
Tout ce que nous savons de lui est qu'il survécut à la guerre et disparut complètement après la Libération. Toutes recherches échouèrent pour le retrouver.
| | | | Intervention du 28 avril 1999, de trouble adour clus
Aux braves Chair ( rouge ) car le X est lent ( âne )
Le jeu, pas le go, est locution solution, celui de la butte du Caroussel...
| | | | Intervention du 25 avril 1999, de Karl Onyx Horth
Quelqu'un a dit " JEU " ! Jusqu'où peut-on jouer ?
No limit ! Voyons cela...
Fulcanelli : un leurre ? plusieurs ? alchimiste ? fumiste ? quelqu'un ? vulcain ? feu ? feu notre cher ami machin chose...
Bof ! Mauvaise pioche.
Je change tout mon jeu. Reprenons Fulcanelli........ l'âne luci F Mince alors ! deux symboles d'un coup... l'âne et Lucifer ! Mais oui... l'âne rouge ! Bon sang mais c'est bien sûr ! seth ! dieu maudit ! nephilim ! contre-initié ! ordre noir ! Fuck à Nelli !
Sorry
Karl
| | | | Intervention du 08 avril 1999, de Troubadour Cluzel
Fulcanelli
Quatre hypothèses pour quatre éléments Terre : la plus terre à terre Fulcanelli est un seul homme dont l'identité reste à trouver bientôt Air : elle manque pas d'R Fulcanelli n'est pas une personne unique mais l'emblème d'un groupe de personnes ( camille flammaRion, Raymond Roussel, maRie adolphe caRnot, etc... ) Eau : Celle qui rend éternelle Fulcanelli a eu plusieurs vie ( ou a encore... ) sa véritable identité change donc au cours de l’histoire Feu : Elle sent le soufre Fulcanelli est une entité, un esprit,…, une chose qui peut être plusieurs personne ( voir en même temps )
| | | | Intervention du 01 avril 1999, de Troubadour Cluzel
sieur Kbalist, tout d'abord merci pour votre interprétation éclairée n'étant pas alchimiste,j'ai peu de chance de trouver le sens exact des textes anglais malgré cela je vais vous donner la suite du paragraphe sur le forum du langage des oiseaux certaines de mes volatiles interprétations peuvent éveiller votre curiosité...
| | | | Intervention du 01 avril 1999, de Katalina
Lu sur le site Monteclair : Fulcanelli, ingénieur à l'école polytechnique de Zurich, Suisse D'accord avec l'idée de Vulcain, d'où volcan, d'où la Sicile, peut-être entre deux volcans. Le F est peut-être un E qui n'a plus sa barre (base) terrestre
| | | | Intervention du 31 mars 1999, de Troubadour Cluzel
fulcanelli marie adolphe carnot ? en tous les cas voici bien un curieux prénom. il devient trés interessant en sens volatile : marie a d o l phe carn ot maria d' O le feu carne O maria d'O2 le feu carne mari d'oxygène le feu physique ( carne = chair physique matiere ? ) maria physiquement le feu d'oxygène on obtient ainsi un possible sens association de l'air et du feu voilà qui n'est pas sans rappeler un certain vulcain hélios... sadi carnot, oncle de marie adolphe carnot, est un des pères de la thermodynamique, était-il familiarisé avec le langage des oiseaux et ainsi aurait-il influencé son frère pour donner ce curieux prénom à son neveu ?
| | | | Intervention du 31 mars 1999, de Pierre-A. Dumarquez
Des recherches récentes m'ont mis sur une nouvelle piste concernant Fulcanelli. Il me semble d'ailleurs curieux qu'on n'y ait jamais pensé... Il s'agit du Docteur Fernand Rozier né à Ebreuil (Allier) le 5 juillet 1839 et mort à Paris le 3 mai 1922. Bachelier ès-lettres, ès-sciences, licencié ès-sciences, il fut pharmacien et docteur en médecine. Il fut assistant de l'astronome Le Verrier et s'engagea comme médecin de bord à la Compagnie Générale Transatlantique. Il fit des recherches d'alchimie en compagnie d'Eliphas Lévi et publia un certain nombre d'ouvrages sur la Magie et l'interprétation des Evangiles. Ce fut aussi un pionnier des mouvements ésotéristes créés par Papus. Les Travaux continuent... A bientôt ! P.-@
| | | | Intervention du 30 mars 1999, de KBalist@aol.com
Gent Troubadour Ce texte est-il alchimique ? Peut-être dans ce cas faut-il traduire "les murs" par "le vase", puisque c'est ce qui retient. On pourrait de même traduire les "placards de bois clair" par " les coffres de chêne" Voila pour le vase, rentrons dans le sujet... Les ferrures de cuivres pourraient désignerle composant le plus essentiel, le cuivre étant pour pour Basile Valentin cette céleste liqueur qui habite un corps trop chétif pour lui être de quelques utilité. On pourrait donc paraphraser : "le vase est ce coffre en chêne dans lequel on a mis la lumière" Et même : la lumière lui irait !!! A plus.
| | | | Intervention du 9 mars 1999, de Troubadour Cluzel
sieur KBalist, je ne suis point alchimiste au sujet du grand oeuvre, j'aimerais votre sentiment sur la traduction possible de la phrase suivante : les murs seraient des placards de bois clair, dont les ferrures de cuivre luiraient. le gros oeuvre serait des plaque art d'orée pur, dont les ferrures de cuivre brillant l'oeuvre grossier serait le brillant art de plaquer d'or pur les "ferrures de cuivre " grossier n'est pas grand ? vulgaire ? ou bien alors l'oeuvre seraient l'art...les vulgaires ferrures de cuivre
| | | | Intervention du 8 février 1999, de KBalist@aol.com
Bonjour Je suis moi aussi étudiant en "langue des oiseaux" ou Kabale comme dit Fulcanelli. J'en connais quelques bases données par un auteur que Fulcanelli cite plusieurs fois : Grasset d'Orcet qui a écrit les "Matériaux cryptographiques" Tomes 1 et 2 Il est possible de demander ces ouvrages à B. ALLIEU, BP24, 78230 LE MESNIL-St-DENIS Ils sont extrêmement édifiants pour quiconque s'intéresse à la kabale et à l'art de déchiffrer les blasons. Je suis par ailleurs très intéressé par des contacts avec des lecteurs de Fulcanelli ou je devrais dire des étudiants de Fulcanelli et par toute discussion sur le Grand Oeuvre. A plus
| | | | Intervention du 4 mars 1999, de Troubadour Cluzel
les élémentaires, feux élementaux FULCANELLI IL FUT LE CLAN LA FILLE NU SAIT ELLE FUIT LE CLAN
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F o r u m
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