Forum Saint-Grégoire-du-Vièvre     

Intervention du 29 janvier 2000, de Gauth

Bonjour Tony, merci pour votre intervention.

Pour les clous d'exorcisme, je vous citais juste l'explication de vieillards de mon village. Je n'avais en effet pas fait le rapprochement avec les clous de la crucifixion. Cela me parait logique maintenant, connaissant un peu l'application des superstitions. En effet, pour "forcer" un saint à interférer en leur faveur, la superstition faisait attacher des noeuds aux statues du saint invoqué, en le menaçant dans les prières de le garder ainsi prisonnier. Ce n'est pas très chrétien, n'est-ce-pas? Je n'imagine pas ce que les clous servaient dans les prières au Christ!!! :-(

Voilà donc pour la disparition des clous: comme pour les noeuds, lorsque le responsable de la prière se considère satisfait, il libérait le saint , le dénouait. Si ce n'était pas lui, et bien le prêtre devait s'en charger... J'imagine que pour les croix à clous d'exorcismes, ils déclouaient symboliquement le Christ. Tout ceci, vous en conviendrez n'est vraiment pas sain, mais c'était très courant, comme de nos jours, dans nos campagnes (pour les noeuds, pas pour les clous qui sont passés de mode). J'ai dégoté ainsi des prières vieilles d'un siècle pour guérir les animaux qui sont des menaces aux saints dans les prières.

Pour en revenir au rébus de Saint-Grégoire-du-Vièvre, vous avez raison, je n'ai pas tenu en compte le reste des pierres hors la ligne principale du rébus. Ceci pour la bonne et simple raison que le reste du mur est un damier de pierres noires et blanches. Or le damier est le symbole de l'équilibre du Bien et du Mal, la Lumière ne pouvant exister sans les Ténèbres...

Beaucoup plus intéressant, une frise parcourait le haut du mur tout du long, sur laquelle étaient peints des blasons. Malheureusement, ceux-ci sont illisibles. Il est probable qu'ils exprimaient un message complémentaire au rébus.

Cordialement

Intervention du 28 janvier 2000, de Tony

Bonjour Gauth,

Voici une réponse (tardive ;-))) à celle que vous m'aviez faite le 14 novembre 1999.
Au sujet des calvaires à croix bouletée, vous parlez de clous qui se seraient trouvés à leurs extrémités, à l'emplacement des « boules ». Cela paraît se comprendre, en effet, dans le cadre du symbolisme de la croix du Christ, du calvaire.

Pourtant je ne suis pas d'accord, du moins en ce qui concerne les calvaires à croix bouletée que j'ai repérés. Parce que, d'une part, je m'étonne que ces clous aient systématiquement disparus, même si l'érosion par oxydation a pu arriver à ce résultat. D'autre part, cette érosion aurait du laisser des traces d'oxydes à l'emplacement des boules, ce que je ne me souviens pas avoir vu et que je ne constate pas plus sur mes quelques photographies de calvaires à croix bouletée. De votre côté, avez-vous constaté quelques traces d'oxydes sur ces graffiti ?

Pour en revenir au rébus de Saint-Grégoire-du-Vièvre, vous ne prenez en compte dans votre interprétation, pour la majeure partie, que la ligne où se situe le rébus. Pourtant, sur vos photos, on voit bien une alternance de pierres noires et blanches au-dessus et en dessous du rébus. Avez-vous une idée à ce sujet ?

Tony

Intervention du 22 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz

Ô fête, un petit oubli marrant

L'étrier du cheval solaire, supporte le pied ( le talon du cavalier est éperonné, ce talon blessé de l'homme rouge qui maintenant diffuse de la lumière ), le germe Humain, la voute plantaire, premier échellon pour se rendre à la voute céleste.

Et surtout l'étrier = l'être y est...

Intervention du 22 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz

Bon soir

Continuons donc sur ce fameux rébus ou plus exactement commençons par le début :

cavalier > cabale y est
cabalero > cabale héros ( hérault = R O = inverse OR = lumière lunaire )
le pétase du cavalier > le pégase de la cabale lunaire ( cf mon message du 14/11 dans le forum de la langue des oiseaux )
précisons que le pétase = "coiffure arrondie des grecs de l'antiquité" d'aprés mon larousse > affirmation que le cavalier est porteur de la langue des oiseaux ( coiffure = perruque = masquant, arrondie = biaisée, grec antiquité = issue du grec archaïque )

Graphiquement :
les pattes du cheval forment pour les antérieurs un 4 ( y lire un IV donc un N, la haine )et les postérieurs forment avec l'étrier ( l'E trié, la matière triée, mise au point pour avant le départ ) un VI ( y lire un IV inverse donc un N inverse, logique puisque les pattes de derrière, du cul, de la lune, sont donc l'inverse de celle de devant... la haine est inverse de l'amour )

Mais ce cheval est à l'envers ( une jument verte, peut-être ), puisque se déplaçant dans le sens inverse de lecture
Le cavalier ( il en est un, puisque déjà porteur d’éperon, il a l’étoile, ou mieux un soleil au pied…il est porteur de lumière par son pied, sa racine, il p orte en lui la con-naissance )
Bras levé ( sa main est comme un rappel de ce pied étoilé, que porte-il au creux de cette main ? ) il appelle son cheval, certainement pour mettre pied à l'étrier ( cf plus haut, faire le tri avant de commencer la quête, partir de Tri, de ter, de terre ), or il parle au postérieur de sa monture ( en argot : parle à mon cul ma tête est malade, ce qui annonce, en parlant comme un oiseau, que l'intuition vaut mieux que la raison ), ainsi donc pour chevaucher le cheval solaire, il faut prendre les choses à l'envers, pour ne pas se faire avoir par l’illusion du monde qui nous entoure, et alors remettre les choses comme elles doivent être, il faut faire « l’étrier »…

Tout ce dessin pour nous apprendre que ce qui est derrière devient alors devant, donc que les pattes antérieures ( IV ) deviennent postérieures ( VI ), que la haine doit laisser place à l’amour !

Que dire des trois rectangles ( un vertical, un VERT, vert le haut, la lune, et deux horizontaux, deux OR, à l’horizon, le soleil ) :
Deux identiques : un au dessus de la selle et un derrière la croupe. Voyons-y la concordance volatile de selle pour les deux ( excréments de la lune pour la croupe )
Avec un peu d’esprit, i, la selle permet de monter au sielle…
Un isolé : au dessus de la tête courbé du cheval, au dessus des oreilles ( qui soit dit en passant sont rigides comme deux cornes ). La tête ne serait-elle pas alourdie par ce rectangle horizontal, symbole de la terre, la matière, de la raison…pour que la tête soit couronné par l’étoile solaire, il faut l’alléger du poids de la raison et laisser la verticalité, l’esprit, l’intuition prendre les « reines »

Jeu volatile concernant les nombreuses cases blanches et noires qui jalonnent ce rébus :
L’échiquier = l’échec y est, le roi y est échec, donc le roi y est, le soleil
Le damier = la dame y est, la lune
Tous deux nous rappèlent qu il faut aller dans le noir pour trouver le blanc. Autrement dit dans les ténèbres se trouvent la lumière, car derrière la face cachée de la lune se trouve le soleil

Appel coutume ( a+ )

Intervention du 18 novembre 1999, de Thierry

Excellent! Bravo bon travail de recherche et d'analyse
@+
Thierry

Intervention du 18 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz

Cher Gauth et sieur Hervé

N'étant point étudiant, je continues à croire que le rébus a plusieurs sens différents mais coïncidants

Un sens alchimique*( dont vous parlez )
Un sens apocalyptique ( l'idée de mort du monde chrétien - la fin du monde )
Un sens initiatique ( la loi du UN )

Voici quelques réflexions dans l'absolu
1 - la boule avec une croix : le monde chrétien, par extension ROME ( au regard de corrompu ) ou la terre sainte
2 - est : est du verbe être ou EST des points cardinaux ( soleil levant )
3 - le cor rompu : corps rompu, explosion, éclatement en deux empires ? une corne rompue en deux éléments, un restant cornu donc lunaire et l'autre devenant carré donc terrestre ? une demi-lune brisée en deux donc donnant un quart ( cf plus loin le quart d'échiquier )
4 - faux C R, le « 8 » s'annulant avec les deux parties d'échiquier
5 - C8R = 8 en cor ( le cor précédemment annoncé ) = huit encore
Intuitivement je dirais pour l'apocalyptique: ROME est corrompue et faussaire
Avec entre autres, l'idée des "et de 3 rangées de 7 pierres" 3 jours de Yahvé et 7( ?) cavaliers de l'apocalypse


* pour la version alchimique je dirais que le « 8 » n'en est pas seulement un ( curieusement rectiligne alors que le monde est bien circulaire, donc volonté réelle et non problème technique ), il me semble être aussi le rappel des deux parties de damiers, d'où l'idée d'insérer dans le corps ( celui brisé en son milieu, son sein ), ces deux échiquiers qui en fait en représentent une quantité de deux éléments (le premier défini un quart d'échiquiers et le deuxième un huitième )

texto
Le monde chrétien est cor rompu quart (d'échiquier) et faut ChuitR encore huitième...

Je dirais hasardeusement une fois la terre (sainte, la croix le rappelant, cf. Fulcanelli Mystère. page 197 ) brisée, il faut cuire encore un quart de... puis un huitième de...
Ou bien : par cuisson, la magnésie est rompu en deux, puis en quatre et en huit
Ou mieux : il faut réduire en poudre la terre sainte ( obtention d'une poudre blanche : la magnésie )

Happe luce

Intervention du 17 novembre 1999, de Hervé Delboy

Cher Monsieur,

J'ai terminé l'interprétation de la terre et du cor. Je m'attaque à présent aux damiers.

Adresse : http://perso.club-internet.fr/hdelboy/

Page : une église hermétique.

A bientôt,

Hervé Delboy

Intervention du 17 novembre 1999, de Trouble Adour Cluz

Bon jour sieur philosophe

" La mythologie la nomme Libéthra et nous raconte que c’était une fontaine de Magnésie, laquelle avait, dans son voisinage, une autre source nommée la roche. Toutes deux sortaient d’une grosse roche dont la figure imitait le sein d’une femme... ".

Magnésie voilà un mot qui me plait :

Magnésite = écume de mer ( de mère bien sûr, mare nostrum ,la lune )

Magnésium = métal blanc argenté ( comme le croissant lunaire de la chanson " l'enfant tout blanc, la lune lui donne son croissant d'argent )

Mais de plus le magnésium est un constituant de la chlorophyle ( d'aprés A. de Souzenelle) = colorant le "sang" vert des plantes ( autant dire celui des initiés lunaires qui sont des Hommes verts )

J'en profite pour rire de l'analogie de MAGNEsie avec le MAGNUS de charlemagne, logique puisque les lunaires sont grands, autant dire GEANTS !!!!

Le TALC est du magnésium sous forme de silicates = TALC pour les fesses bébés, une fois encore la lune...hum

Quand à la roche qui est proche, elle peut aussi être pierre, la pierre sainte ou mieux le pierrot ( pierre-haute, la lune )

Tout ça pour dire que la fontaine de magnésie pourrait bien à voir avec celle de la chanson " eau clair de la lune " qui coule jusqu'à " à la claire fontaine "(cf forum jeux et comptines pour enfant )

à bien haut

Intervention du 15 novembre 1999, de Hervé Delboy

Cher Monsieur,

Voilà de nouveaux développements sur le rébus de St Grégoire. Je pense avoir donné une interprétation satisfaisante des premiers damiers et de la terre. Je m'attaque à présent au cor...

Bien cordialement,

Hervé Delboy

cf. la page de mon site : une église hermétique (http://perso.club-internet.fr/hdelboy/)

Intervention du 14 novembre 1999, de Hervé Delboy

Cher Monsieur,

Votre texte m'a passionné au point que je me suis vu obligé de rajouter un chapitre spécial en cours de "fabrication" à l'heure où je vous écris. Cela pour vous dire que j'ai donc consacré quelques pages web de mon site à des développements sur l'alchimie, basée sur l'interprétation des textes modernes que je crois relativement originaux.
Voici l'adresse : http://perso.club-internet.fr/hdelboy/

J'ai donc commencé à annoter le rébus que vous proposez (voyez : une église hermétique).

Espérant que mon site pourra vous intéresser,

Cordialement vôtre,

Hervé Delboy

Intervention du 14 novembre 1999, de Gauth

Réponse à Tony:

C'est intéressant car vous vous posez la même question que moi sur la devise des moines Chartreux. Hérétiques peut-être, mais je pense que l'Eglise a été de très mauvaise fois avec Galilée c'est certain. Je n'ai pas la réponse à ce paradoxe. Un peu plus de recherche s'impose!

Pour les descriptions des graffitis, j'ai aussi remarqué tous ces trous aux extrémités des croix et autres symboles. En Normandie, des personnes âgées qui ont connues des gens qui ont fait des graffitis, m'ont dit qu'à la place des trous s'étaient trouvés des clous. Ce qui se comprend mieux en rapport avec le symbolisme de la croix.

Or, détail important, ces clous avaient comme nom "clous d'exorcisme". Superstition pour certains, certainement, véritable rituel magique pour d'autres, la Normandie est connue pour cela! Pour la datation, je pense que ces graffitis correspondent en majorité aux XVIIIème et XIXème siècles.

Pour le S inversé, pas d'erreur d'affichage de ma part, mais la qualité du tracé est moins bonne, ce que j'avais pris pour une erreur de copie ou d'imitation.

Enfin pour l'interprétation du rébus, j'espère que maintenant d'autres personnes vont se lancer à leur tour dans une tentative d'interprétation, avec comme base la critique de mon travail. Ce serait là mon plus cher désir...

Intervention du 14 novembre 1999, de Tony BONTEMPI

Bonjour,

Félicitations pour votre interprétation du rébus de Saint-Grégoire-du-Vièvre ! Est-ce là la réelle signification ? Bien entendu, ce n'est pas certain, car après tant de siècles passés, il est souvent difficile de se recadrer dans le contexte de l'époque. Mais votre interprétation est un véritable tour de force, et je dois dire que je reste subjugué ! On peut admettre qu'il y a de fortes chances pour qu'elle se rapproche de beaucoup de la signification réelle de ce rébus.

Quelques réflexions maintenant. A propos de l'ordre des Chartreux, vous dites : « en 1236, le R.P. Dom Martin composa les armoiries Cartusiennes qui deviendront celles de l'Ordre Général des Chartreux : une croix surmontant un globe. Cet emblème est accompagné de la devise : Crux stat dum volvitur orbis mundo inloncussa superto, La terre tourne, la Croix demeure ». Mais n'est-ce pas là une notion hérétique, cette devise indiquant clairement que la Terre est ronde ! Lorsque l'on sait qu'en 1236, l'inquisition sévissait, et que quelques siècles plus tard, Galilée serait jugé pour avoir affirmé que la Terre était ronde (« Et pourtant, elle tourne ! », aurait-il dit), on peut être étonné qu'une telle devise apparaisse en pleine période inquisitoriale, au sein d'un ordre catholique et sans soulever de poursuites ?!

A propos de la Bible et du nombre de la perfection (21), il serait intéressant d'avoir les références bibliques.

Au sujet des graffitis de pèlerins, sur le mur est, il s'agit pour la plupart de « calvaires à croix bouletée », comme je les nomme. En effet, ceux-ci présentent à leurs extrémités de petites boules. On trouve parfois quelques variantes, comportant certaines branches orientées différemment (on peut d'ailleurs constater la présence de quelques variantes sur votre photographie). Ces calvaires à croix bouletée se rencontrent très souvent, sur plusieurs églises et notamment en Normandie, sur des églises bâties en pierres tendres et se prêtant bien, donc, à l'inscription de graffitis. J'ai pu ainsi en repérer sur les églises de Sainte-Colombe-la-Commanderie (Eure), Vert-en-Drouais (Eure-et-Loir) et Maillebois (Eure-et-Loir). J'ai aussi repéré un calvaire à croix bouletée dans l'un des souterrains de Provins (Seine-et-Marne). Celui-ci a à sa base un symbole qui semble être la lettre « H ». Cela pourrait se rapprocher du fameux « I.H.S. » (Iesus Hominum Salvator, c'est-à-dire « Jésus Sauveur des Hommes »), bien que la lettre « S » soit absente (le « I » pouvant être la barre verticale de la croix). Mais il semblerait que l'on ait, par ces lignes bouletées, une tendance, à une certaine époque, à terminer les traits par de petites boules, comme pour bien en marquer la fin. En effet, j'ai noté la présence de nombreuses marques lapidaires (signes qui n'ont rien à voir avec nos calvaires à croix bouletée) sur l'abbaye de Montmajour (Bouches-du-Rhône) et dont les traits se terminent par des petites boules. Quelle datation avanceriez-vous en ce qui concerne ces graffitis ?

Revenons au « I.H.S. », puisque vous nous en présentez deux, aux lettres entrelacées. L'un d'eux me paraît particulièrement intéressant, car, sauf erreur de votre part par inversion de la photographie, il présente la lettre « S » inversée. Je rappelle ici que j'avais signalé sur le forum « N inversé » la présence d'un « S » inversé sur des croix de plusieurs cimetières de Seine-et-Marne (courrier du 26 mai 1999). Je reviendrai d'ailleurs là-dessus sur le forum « N inversé» dès que je serai équipé d'un scanner.

A bientôt

Tony

Intervention du 13 novembre 1999, de Adela

Formidable!!! Mes félicitacions.

Mais pourriez-vous m'éclairer sur ce point: "Ainsi la 21ème arcane du tarot de Marseille est Le Monde ou la Couronne des Mages, qui exprime la récompense, le couronnement de l'oeuvre, l'élévation, le succès, l'illumination.
Il correspond en astrologie à la 10ème maison horoscopique, qui est le Capricorne!"

L´eglise templière de Segovia , la Vera Cruz , a une certaine époque de l'année, la constellation du Capricorne se "pose" exactement sur elle.

Bravo une fois de plus.

Adela

PS: c´est aussi mon signe ;-)))

Intervention du 13 novembre 1999, de Diam

EPOUSTOUFLANT !
Rien à redire ! Démonstration impeccable !
Bravo.
J'ai appris beaucoup de choses, détails souvent négligés au cours de mes lectures, et qui trouvent un sens à la lecture de ces révélations.

Encore bravo.

Intervention du 02 août 1999, de Troubadour Cluzel

dagobert me fait penser à ceci :
"le bon roi dagobert a mis sa culotte à l'envers "
voilà donc un roi "bon" > est-il " un roi juste" ou "un vrai roi, c'est à dire divin et solaire" ?
il est "culotté à l'envers" tiens tiens revoilà donc la notion d'inverse, le pendu, le N inverse et surtout la lune à l'an-vert. Que nous dit donc cet habit inversé : "culotte" > "cul-ote"  pour la "lune inverse" ? ou bien "cul-hôte" pour affirmer que le roi est le receptacle de la lumière divine.
A l'envers comme annoncé par la chanson : "ettoluc" pour " est haute lumière " ( le soleil ou son reflet-inverse la lune ) ou bien encore " êtes haute lumière " pour parler de la notion de vrai roi
continuons donc :
" le grand saint éloi, lui dit ô mon roi, votre majesté est mal culotté "
nous y revoilà, mauvaise lumière ou mauvaise place ? mais il est amusant de constater que " le grand saint éloi > la grande sainte loi ! "
la chanson a donc vérité, verte i, a nous enseigner...
remarque : majesté > magister ? hermés...

Intervention du 21 mars 1999, du Cercle Général Dagobert

L'assassinat de Dagobert ll ne marque pas, loin s'en faut, la fin de la dynastie mérovingienne (Fable de Pierre Plantard et du Prieuré de Sion).

La fin historique de la dynastie de Mérovée se situe en 751 lorsque Pépin le Bref déposa Childéric lll avec l'accord du pape Zacharie. Il fut enfermé à l'abbaye de Sithiu (St Omer sur le Méridien de Paris). Quant à son fils aîné Thierry, il fut enfermé à l'abbaye de Fontenelle-St Wandrille, ce qui explique que le général Dagobert, descendant de Thierry, se fit appeler de Fontenille, contraction de Fonten(elle) et (Wandr)ille. Observez la généalogie des descendantes du Général Dagobert et vous verrez que l'un de ceux-ci se prénomme, Wandrille ! (Généalogie établie par Blad-Lancelin pour le compte du marquis de Lanjamet avec lequel je suis entré en relation épistolaire)