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Intervention du 07 novembre 1999, de Troubadour Cluzel

Ô fête :
A à W
pour le début jusqu'à la fin
ainsi donc que deviennent les dernières lettres de l'alphabet ?
X Y Z pour trois un-connus...
le Z associé à la TERRE ( hors le N e nrotation ) ?
*Z numéro atomique de la matière ( matière, ma terre ? )
*ZZZ pour celui qui dort ( tiens un rapport avec l'éveil que nous devons avoir, Z lieu de l'illusion, la terre ? )
le gobeur de lumière ( Happe LUCE )


  
  
  
Intervention du 05 novembre 1999, de Troubadour Cluzel

MAT&MATH y sait :
X + Y = Z
équation à trois inconnues
inconnu = UN connu
*le premier UN connu est le soleil, ce centre lumineux qui est associé au centre du monde donc à X
X est bien la lettre de la première inconnue mathématique
*le deuxième UN connu est la lune = le UN(e) féminin car matricielle ou matériel, la lune androgyne et binaire nous renvoie au Y, d'ailleurs ce Y n'est-il pas un I cornu !
Y est bien la lettre de la deuxième inconnue mathématique
*le troisième UN connu est le TER, la terre ? peut-être
si on fait subir une rotation, un renversement, une inversion innaboutie, à ce fameux Z on obtient selon le sens un N, ce N  qui est haine et doit devenir amour, ce qui caractérise l'être humain, dont la terre est le berceau

en admettant on a donc bien Z(N) comme troisième inconnue mathématique
en résumé :
X+Y=Z
1+2=3
soleil+lune=terre
MATHEMATIQUE ET ESOTERISME, partie du tout en un
je m'interroge donc alors du choix de la lettre fondamentale i pour symboliser les nombres irréel, par opposition à ceux réel... les mathématicien auraient-ils eu l'intuition de nombres spirituels par opposition aux nombres matériels, ce qui justifierait l'emploi du i, esprit divin... en tous les cas, belle coïncidence
bien avoué

  
  
  
Intervention du 05 novembre 1999, de Troubadour Cluzel

bon rosi
dame adela votre cheval de bataille, ce X équis, est EQUIvalant et EQUItable à EQUIdistance, effectivement ce X a pour origine quatre points équidistants d'un même et unique centre

Cinq points définissant le DIX qui rebondit alors sur un dé dont cinq points matérialisent le cinq,
Cinq moitié du dix où dix est deux fois cinq ce qui se retrouve en graphisme romain où V + Vinverse donne X
je ne sais plus trés bien mais cinq ne symbolise t'il pas le règne animal ?
si oui on peut jouer :
V + V(inversionlimitéegauche droite) = ANIMAL + L'ANIMA = X
mieux encore
V + V(inverse) = ANIMAL+LAMINA=X
où il faut lire :
animal > en I mal >inversion< lamine > l'âme I né ou l'âme innée ( l'ame né de I )
ainsi donc l'animal recevant l'ame divine devient l'homme, dont le chiffre n'est-il pas 6 ?
vérifié alors en écriture romaine par :
V+I = VI...
ainsi donc voici cet animal recevant l'ame divine qui est alors doué D'AMOUR
VI = n inverse = haine inverse = amour
X n'est donc pas trés loin de VI
dix et six ont I et X en commun
est-ce IX ?

des IX !
IX déesse en variation...
a+

  
  
  
Intervention du 05 novembre1999, de Adela

bonsoir, sans miroir
pour ;-)))
·3/E> e marque du féminin , 3, triple déesse féminine ,qui précipita la guerre de Troyes, qu´un cheval  gagna...EQUIS=X.. >EXQUIS Homer.
·X comme symbole de centre du monde , marque un point.
Or : 1X1=1.1=1
·si on considère un nombre  quelconque :X (toujours  lui)
X=X.1=1.X=X....I est avec tout élément.(comme élément Neutre de la X)
X=croix spirituelle =croix de Saint Andres +=croix matérielle =croix latine
·bleu +rouge =violet(peinture)

"que nos fils soient des Hommes non des adultes" G.Moustaki
Comme  dit Bart "Multiplies-toi par Zéro",Disparaît=néant, X.0=0
10=nombre de doigts >math en base 10 donc X.
Multipliez -vous (mais pas par Zéro !!!)  ;-)))
Adela.

  
  
  
Intervention du 03 novembre 1999, de Troubadour Cluzel

ri ô snob
la lettre X, symbole de centre du monde

mais aussi le signe X, symbole de multiplication mathématique ( adela encore le hic MAT&MATH, ;0} )
X = IXE ou DIX mais aussi FOIS
donc X est à rapprocher de FOI, et pourquoi pas de FOIE ( cet organe serait symbole d'engrangeur de lumière... symbole de la porte des dieux )
cette croix multipliante n'est peut être pas si étrangère à la croix focalisante :
1x1=1 ! UN FOIS UN EGAL UN ( la foi de l'UN est de devenir et aussi de rester UN ), donc UN reste égal à lui même dans le sens qu'il est à la fois son origine et son devenir

mais alors 1+1=1 ? non semble t'il...la croix, X, aurait subit une rotation, +,   qui le ferait passer du plan spirituel à celui matériel, aboutissant 1+1 =2, à la chute de l'un dans sa scission symbolique caractérisée par adam et eve
la multiplication par l'UN ne modifie pas le multiplié, du moins sur le plan extérieur, mais il faut croire que la mutation est d'un autre ordre, similaire à un accroissement spirituel, une croissance intérieure, le X est donc focalisateur de croissance, normal puisque sang-bleu t'il ce X est coeur du  monde ( le sang rouge y afflue, qu'en sort il aprés opération : vert ou bleu ? )
l'heure des COMPTES, IL ETAIT UNE FOIS...
"il était une foi" traduction volatile donnant "une ancienne croyance", voilà donc posé le sens du conte, un texte symbolique ! d'ailleurs amusons nous humblement de l'enfant qui dit je CROIS aux contes de fée, car il est bien question de FOI, de X, de COEUR PURE,  cet enfant est dans le VRAI... l'adulte est dans le FAUX. D'ailleurs adulte est racine d'adultère, celui qui trompe sa moitié, donc j'affirme qu'adulte est celui qui se trompe, lui même !
bien avoué
TOUBLE ADOUR CLUZ

  
  
  
Intervention du 30 octobre 1999, de Troubadour Cluzel

dame pour dame adela
fou pour troubadour
mat pour la quête du MAT du tarot
je ne mets aucune barre hier ou aujourd'hui ( au jour du I, ce fameux instant présent perpétuel, pour ne pas dire éternel... ) entre math ou autre chose, je ne me ballade qu'au gré du vent des coincidences ou intuitions
Demain peut-être, mon vaisseau me conduira vers le 4, pour le moment je fais  escale sur "l'ile au" 123...
amusant rapprochement volatile entre MATH et MAT...hic
à bientôt

  
  
  
Intervention du 28 octobre 1999, de Adela

Dame -Fou-Mat (?)
Je m´excuse pour tous ces "pourquoi",je sais que ça rend fou beaucoup de profs ,surtout ceux qui n´aiment pas qu´on remette en questions leurs idées...car ils n´ont pas de réponse.
Vous n´êtes pas de ceux-là , Dieu merci!!!
J´aime votre façon nette et logique de voire les choses. Vous avez les idées claires mais voilà pas moi.!!!
Pour ce "4= Terre "du point de vue de la Géométrie, qui n´ a aucune raison d´ être fâché avec le Langage (je n´ai jamais aimer cette barrière qu´on a fabriqué entre les Maths et l´Ecriture)
Je vous réponds sur le Forum des Calvaires que je crois plus approprié
Merci de me répondre
Amicalement Adela

  
  
  
Intervention du 26 octobre 1999, de Troubadour Cluzel

dame, fou et mat !
je m'amuse avec les symboles, le trois et le E m'interpelant pour leur similitude graphique,
 je suis donc parti en quête d'un rapprochement...
rien d'effectif mais des soupcons intuitifs :
1 - le 4 et la terre : hormis les points cardinaux, je ne ressens pas personnellement d'attirance entre eux.
De plus, les 4 points cardinaux sont des directions d'un plan bidimensionnel et non d'un espace tridimensionnel, d'une terre plate et non d'une sphère terrestre )
terrestre = ter estre = ter être = l'être-trois ( un clin d'oeil amusé à l'aiguille d'êtretrois... )
le trois me parle, alors que le quatre m'inquiète ( d'ailleurs on a suffisament vu le IV sous son visage haineux ), je le rapprocherais de "DESCARTES" en "DES CATRES", "des 4"...
mais pourquoi pas ( trois est TERRE, quatre est MONDE
disons que le trois m'est plus distrayant :
"matière" c'est "ma tiers" donc "Ma un sur trois" d'où "ma I sur ter"
deux possibilités :
"manifestation physique de I sur Terre" ou " ma tIer ", bouclant la boucke sur "matière"
ajoutons volatilement que :
"matière" peut signifier " mat hier ", ce que je traduirais " ce qui n'a pas de solution avant ", cet avant le big bang, un océan de lumière ( l'homme-hier, celui d'avant la chute ou du big bang générateur d'espace et de temps )
donc pour finir :
4 = 3 + 1 = TERRE + I = physique + esprit.
ou
4 = 3 + 1 = espace x,y,z + temps t.
alors si
4 = matière, je ne saurais dire si la matière contient intrinsèquement la notion de temps alors que je suis certain qu'elle implique l'idée de dieu( dieu au sens du Un originel et non au sens d'une sorte de patriarche grisonnant... )
d'ailleur j'en profite pour rire, avec humour mais surtout amour, sur dieu :
D'I EUT, ce qui revient à dire que UN fit dieu, ce dieu, entité spatiale et temporelle, engendré par le big bang...
ne serions nous pas tout simplement, tous, tant que nous sommes ( la somme de tous ) ce dieu qui tend à redevenir UN, une lumière hors du temps et de l'espace...
1,2,3,4,5...
INDE, TES ROIS, QUATRE SAINTS QUE...

  
  
  
Intervention du 24 octobre 1999, de Adela

Ah! je suis toute "liée"!!!Je m´en excuse d´avance.
Terre >TER> 3 (algèbre) bien logique .
4=matière=terre(géométrie)n´y a-t-il pas une contradiction???
me suis-je perdue ???
Ce MI me donne la MI-GRAINE et cette graine sème le doute dans mon E-S-priX
Au se-Court...!!!
Adela.

  
  
  
Intervention du 22 octobre 1999, de Troubadour Cluzel

3 est l'inverse du E ?
ce E symbole de matière, des trois dimensions spatiales ( trois barres horizontales naissant de la barre verticale, le I, l'esprit divin se matérialisant à partir du point originel, celui du i )
matière  : ma tier MA TROIS, le MA étant la manifestation matérielle du MI ( selon la conception de l'univers composé de deux sphères : le MI pour la pensée et le MA pour la matière )
donc la TERRE qui est le TER, est associé à ce E matière mais inversé ( inversion annoncé par deux, la lune )
prenons l'air pour attraper i :
je prends le R
de FEU MA TERRE
et EAU lieu de l'AIR
le i premier j'insère
ma terre = matière
mon trois = mon E
E est inverse de 3 et ce sous l'action  de l'inverseur céleste qu'est la LUNE
j'insiste donc sur 1,2,3,soleil
en modifiant 1,2,E, soleil

  
  
  
Intervention du 17 octobre 1999, de Troubadour Cluzel

merci sieur EON
aprés  " maitre fée ", avocat du diable :
je suis en adéquation avec vous, pour CHLORE la question de validité de la  " GEMME en trois "
en fait, je me sens attiré par le langage des oiseaux tandis que d'autres le sont par l'alchimie ou tout autre chemin initiatique... tout est dans tout, un est unique
à bientôt

  
  
  
Intervention du 07 octobre 1999, de xeon

La question de savoir si l'on met un article ou pas devant un mot avant de le calculer se poserait si l'on avait affaire à une science exacte, mais notre science est, "fondamentalement, un art". Il est vrai qu'un calcul a plus de portée si les mots comparés sont grammaticalement identiques. Un verbe avec un verbe, conjugué avec un verbe à la même personne, puis un pluriel avec un pluriel, etc. Il y en a. Mais pour que l'art soit un art, il lui faut bien une "certaine" dose d'imperfection, de trivialité. C'est ce qui fait son charme. et empêche toute preuve facile à obtenir.
Souvenez-vous de la parole de Jésus : "A eux je ne leur dis rien, de peur qu'ils ne comprennent, et que comprenant , ils ne soient sauvés." Je rajouterai : sans effort. La "science de nombres" = 153 doit être alliée à "la science du verbe" = 135 (135 anagramme de 153), qui joue avec les règles humaines, et confond les rationalistes. Et cette science du Verbe doit à son tour être reliée à une "sémantique clé", qui cohère et relie les éléments entre eux.
Puisque ce forum s'est "branché" sur la carré Sator, j'aimerai y apporter ma contribution, car il se trouve que monsieur Bouguénec a passé sa vie a étudier cette pierre angulaire. Il représente une sorte de synthèse harmonieuse et démontre l'antihasard de par sa perfection particulièrement frappante. Premier hasard, "Le carré Sator" = 135 = le carré anagramme = la carré magique = quadra magicus, etc. Mais il y en a d'autres (des milliers de pages).
Le sator, c'est le semeur. Arepo est une contraction du verbe latin arepto : ramper, qui rampe. Tenet, il tient, opéra : l'ouvre. Le semeur sème subrepticement (arepto) ses clés à travers temps et espaces, c'est-à-dire son ouvre. C'est la croix qui tient tout bien sûr, avec l'N en son centre, la lettre qui au milieu de l'alphabet, symbolise la nuit, point d'où s'origine la lumière.  Le nouel de l'alphabet de Marcel Emile Sourbieu Nouel qui a donné nuit, noël, Noé, etc. Tout symbole de renouveau et d'espoir, de lumière dans les ténèbres.

  
  
  
Intervention du 25 septembre 1999, de Troubadour Cluzel

Xavier EON
( X : avis et LUMIERE )

EXCELLENT, voilà des paroles qui m'éclairent, je dirais même qui dissipent un peu plus mon propre doute sur le discours volatile
oui mais voilà, malgré cela je m'interroge encore sur :
la GAI-menthe-ris

( l'heureuse-souris-verte, celle de la contine bien sur ),
la G-aimante-rit
( la geai amoureuse rit, le jeu des oiseaux ayant trouvé le chemin du Coeur ),
la GAME-en-tri
( le jeu en trois : lettre, nombre, addition )
la G-aime-entre-I
( j'aime entre I, l'amour fait entrer le divin en soi )
Car pour le langage des oiseaux, l'approximation en est la LOI première...la ludicité induite.
par contre pour la guémantrie, c'est la précision même qui en fonde l'existence pour pouvoir oeuvrer dans la correspondance, ou devrais-je dire, la mise en EVIDENCE que la COINCIDENCE est PROVIDENCE : or j'ai du mal à admettre, selon cette règle rigoureuse d'association LETTRE-CHIFFRE-ADDITION, que selon le cas, un mot soit utilisé avec ou non son article ( défini ou indéfini )
exemple :
LA LANGUE FRANCAISE = 135 = UNITE INFINIE = 135 = LA LANGUE CALCULEE
( dans ce cas j'ai vérifié LANGUE FRANCAISE = 136, LA LANGUE FRANCAISE = 149 )
donc on a

UNITE INFINIE = LA LANGUE CALCULEE = 135
alors que
L'UNITE INFINIE = 147 =?= LANGUE CALCULEE = 122
par contre je suis complètement d'accord avec vous sur la notion de perte de valeur possible de la référence hébraïque, votre règle de jeu est forcement évolutive car il est impensable qu'elle disparaisse si l'hébreux n'était plus ( si dans 25.000 ans la civilisation humaine, toujours liée au divin de fait, a complètement oublié ses racines, comme nous aujourd'hui nous avons certainement oublié les notres qui datent bien avant les égyptiens, les hébreux et autres sumériens, alors gageons qu'elle aura encore des outils ludiques basés sur un langage qui n'aura plus grand chose à voir avec le notre )
j'ai le même sentiment concernant la langue des oiseaux, certes liée au grec anciens, qui peut aujourd'hui fonctionner avec le français actuel sans nécessité de connaissances en grec archaique ( en effet à l'époque des ces fameux grecques, leur langue était moderne et celle des oiseaux devait venir d'un plus ancienne, ce qui n'a pas empéché la langue de oiseaux de perdurer malgré la perte de cette langue ancestrale, gageons donc encore une fois que dans plusieurs milliers d'années la langue des oiseaux existera et s'appuiera sur le francais archaique, notre commun francais actuel... )

bien avoué
trouble adour cluz

  
  
  
Intervention du 25 septembre 1999, de Adela

Bien le bonjour.
Si A=1 et Z=26 alors
ROTAS >18-15-20-1-19 >73=7+3=10=1
OPERA >15-16-5-18-1   >55=10=1
TENET >20-5-14-5-20
>64=10=1
Et ainsi de suite...
TAROT>20-1-18-15-20 >74=11=2 Finalité du Tarot...?
ASEPO >1-19-5-16-15 >56=11=2
RENER >18-5-14-5-18 >60=6......
Adela

  
  
  
Intervention du 23 septembre 1999, de Troubadour Cluzel

bon soir
cherchant je ne trouve rien encore quand au possible code du carré SATOR, mais je doute qu'il n'y ait que le compte des lettres pour arriver au résultat A PATER NOSTER O en croix
car si ce fut le cas pourquoi ne pas avoir fait d'autres carrés aboutissant au même A PATER NOSTER O
j'en propose un sur le TAROT plutôt que SATOR :
TAROT
ASEPO
RENER
OPESA
TORAT
donc les mots du carré SATOR ( sator,opera,tenet et leur inverse ), ou bien l'ordre des lettres ont certainement une importance
..mais laquelle ???
à noter que le mot TENET à la particularité du palyndrome
trouble adour cluz

  
  
  
Intervention du 23 septembre 1999, de Xavier EON

Bonjour,
Je vais essayer de répondre à vos questions. Peut-être cette réponse serait-elle plus adaptée au forum sur la langue des oiseaux.
De même que la cabale juive, la cabale française utilise le rapport des chiffres et des lettres et celui des lettres entre elles, pour trouver dans les mots, des signes d'une autre réalité, en renversant, combinant ceux-ci entre eux. Puisqu'à l'image de la langue hébraïque, la langue française se prête aux jeux de mots "volatiles", comme vous les nommez, pourquoi ne pas y ajouter les autres techniques, dont la guématria, de la cabale juive, et en goûter alors le résultat ? Mais ceci doit être avant tout considéré comme un exercice "pratique".
En effet, cela concerne justement ce que l'on nomme la "cabale pratique". La cabale théorique étant une théosophie, une ontologie démonstrative, rationnelle, tandis que la cabale pratique reste un fait, un acte qui, avant d'être démontrable, est "démonstratif" du fait des fruits qu'il génère. C'est pour ces fruits qu'entre autre, nous utilisons et jouons avec la langue française. Les lettres, donc, prenant une valeur en fonction de leur rang dans l'alphabet (a = 1, b = 2, . z = 26).
Pourquoi ce jeu est-il démonstratif avant d'être démontrable ? Parce que cette SCIENCE DU VERBE est un arbre qui se justifie d'abord par ses fruits, autrement dit : il faut les goûter pour pouvoir y croire, et avec : la prise de conscience, la compréhension que tout est agencé, et que le hasard n'existe pas. Car ce qui prouve l'anti-hasard, c'est justement le résultat de ce jeu. de mots et de chiffres mais qu'il faut paradoxalement admettre auparavant. Un enfant qui veut jouer a-t-il besoin de se justifier, où de justifier son jeu ? C'est d'abord le plaisir qu'il trouve à jouer, qui le MOTive. Ce qui n'empêche pas "l'adulte" d'étudier ce jeu épanouissant et réalisateur, pour pouvoir le refaire - s'il veut à son tour "REdevenir comme un enfant". C'est toujours quand ils ont montré leur richesse que les jeux sont justifiés. par eux-mêmes, comme un individu n'a pas a prouvé son innocence quand les actes de son quotidien font "foi". Ainsi, ce sont ses nombreux recoupements et con-cordances qui finissent par dé-monstrer l'immense trame d'archi-texture du Verbe. On peut par exemple constater que le chiffre (matière) sans la lettre (esprit), et vice versa, ne sont rien. Prenez un chiffre : 1. Il a une valeur numérique, il représente à la fois la partie et le tout, mais également une dimension dans le langage de tous les jours : un (élément quelconque). Il y a bien, dans la pensée, un premier rapport entre le chiffre et la lettre. Montons d'un grade et spiritualisons ces données :
Le n'ombre est l'ombre de la lettre. UN
 = 21 + 14 = 35. Mis "côtes à côtes", comme un couple d'êtres différents mais cependant complémentaires, ils font 1 UN, où 1.35 : LE TOUT (1), et LA PARTIE (35, entre 34 et 36). En musique, ce nombre représente "l'harmonie, l'accord parfait : fondamentale (1), tierce et quinte (35)", à partir de laquelle peut se greffer toute mélodie. Nous ne sommes déjà plus très loin de votre "langue des oiseaux". 1 3 5 sont ainsi le point de départ de la mélodie des nombres premiers : 1 3 5 7 11.. Ils sont les PREMIERS des premiers.. Parce qu'en accord parfait, Ils sont le principe de L'ALCHIMIE DIVINE = 135 entre Tout et Partie, qui permet l'intelligence HOLISTIQUE = 135 que procure cette SCIENCE DU VERBE = 135. Et LA LANGUE CALCULEE = 135, c'est LES LETTRES = 135 ET LES CHIFFRES = 135.
La réduction à la base 10 est une possibilité, et une en base 26, pourquoi pas ? D'ailleurs, ce fut fait, mais je le répète, là aussi, s'il y a fruits, ceux-ci seront nourrissant, transporteurs d'énergie actualisée et donc in fine, de lumière. Cependant, par expérience, je dis que cette réduction est à relier, à recouper avec d'autres résultat provenant de techniques de calculs plus probantes. Car cette technique ci-dessus fait perdre sa valeur et donc son identité propre au nombre (12 devient 3, 21 aussi, et ainsi de suite), donc au mot qu'il représente, et lui avec l'ensemble des autres mots ayant résultat de calculs identiques. Par exemple : Là où il y a dix mots dans le groupe 153, ils devront désormais se greffer avec des centaines dans le groupe (1 + 3 + 5 =) 9. Ainsi, en base 10, l'équivalence perd de sa puissance, un mot se retrouvant en com-paraison avec des milliers d'autres, et par là même, tout apparaît être en rapport avec - presque tout. On n'a plus alors une science holistique, mais une parfaite confusion, tant les ensembles à considérer sont vastes. Au contraire, la vision holistique est la vision de la partie avec le tout, c'est-à-dire d'une notion dans un ensemble, puis celui-ci avec un ensemble de notions dans le Tout, et ainsi de suite, jusqu'au Dieu Verbe Esprit Universel, selon l'exemple que l'on considère, et ceci étant à mettre dans l'ordre que l'on veut. COMME PAR HASARD = 135, LA LANGUE FRANCAISE = 135 = UNITE INFINIE. Tout considérer avec tout (ou quasiment), je vous en laisse juge, n'est guère "scientifique". Les vrais savants, par contre, JOUENT avec le DIEU UNI VERS CELLE qui nous porte (lire dans ce con-texte : "les gnostiques de Princeton", de Raymond Ruyer), sinon, c'est la matière qui joue avec les savants. et se joue d'eux.
Les jeux de GUEMATRIE française, s'ils sont des MOTeurs pour la compréhension joviale du réel et de ses lois, vous voyez qu'ils n'ont de sens qu'associés avec le langage. Mais il ne faut pas oublier que la base de tout échange savant entre les hommes, de toute communication d'une gaye science de la Vie, sont le bon sens, la foi raisonnable, la philosophie religieuse, la fraternité et l'humanisme alliés à une co-naissance de Dieu et dans Dieu, etc., le tout associés en un équilibre qui génère alors un ensemble nourrissant. Vous ne pouvez, à partir d'un fruit que vous commencez par goûter, découvrir chacun de ses éléments pris un à un, et pourtant, ils sont là. C'est ainsi d'innombrables embranchements,  que se forme l'arbre du VERBE OMNIPRESENT. N'attendez alors pas une preuve formelle et logique de cette présence, sinon en la cherchant toujours par un travail quotidien qui vous en fera découvrir les milles jeux de lumières qu'il laisse d'abord filtrer entre ses feuilles.
Il n'y a pas, et c'est tant mieux, de formule parfaite qui engloberait toute chose, toute science. Voyez la science actuelle et ces désormais principes d'incertitude, de chaos, de matière noire, de relativité, qui conditionnent leurs méthodes pour pouvoir comprendre une Matière qui joue. De même, l'esprit de système ne prévaut pas ici, mais plutôt le jeu, le GAYE SCAVOIR.
Ainsi, de la cabale française, dont le père est, selon Robert Charroux, André Bouguénec, c'est à vous de juger. Cependant, dans votre comparaison, gardez en tête que la cabale hébraïque a des milliers d'années d'existence derrière elle, argument de sa probité, mais c'est à double tranchant, car cela peut la rendre un peu trop sûr d'elle, et cela n'exclue pas qu'elle puisse être détrônée, parce qu'incapable avec ses concepts désormais archis rabâchés et ressassés, de s'adapter à un monde actuel en totale mutation, c'est pourquoi, comme l'annonce à maints endroits la Bible, comme dans Matthieu XXI-43 : "je vous le dis, le royaume de Dieu (la Connaissance) vous sera enlevé, (au peuple hébreu et sa langue)et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. "

  
  
  
Intervention du 17 septembre 1999, de Troubadour Cluzel

merci sieur PAD pour la solution de la PARTERNE AUSTERE...
j'avoue que mis à part la correspondance des lettres je n'ai trouvé le chemin de croix qui permette d'y aboutir.
à bien thau

  
  
  
Intervention du 16 septembre 1999, de Pierre-Antoine Dumarquez

En complement a mon message precedent :
1°/ La lettre N se trouve au centre de la croix formee par les deux "PATER NOSTER". Elle est, en quelque sorte, inversee dans une branche par rapport l'autre.
2°/ PATER NOSTER est en quelque sorte "encadre" par l'Alpha et l'Omega (ce qui nous renvoie, bien sur, a l'Ecriture :"Je suis l'Alpha et l'Omega (...) je suis la Voie, la Verite et la Vie".
En Hebreu, cela donne "Je suis l'Aleph et le Tav", ce qui, oriente autour de la lettre Mem, pivot de l'alphabet hebreu donne le mot "Emet" (Aleph / Mem /Tav) qui signifie... Verite. En inversant Aleph / Mem / Tav, l'on trouve le mot MAT, signifiant, en persan, "Mort" ("Shah Mat" : le roi est mort). Tout ceci nous renvoie aux echecs, et aux principes de la monarchie, ou le roi est, en quelque sorte, mort sans etre mort : aux echecs, il est immobilise en restant sur l'echiquier jusqu'a la prochaine partie ou il reprend vie, ce qui correspond bien a la phrase celebrant l'eternite et de la, la perennite de la fonction royale : "le Roi est mort, Vive le Roi".
Faut-il ajouter l'evidente parente entre le Bateleur (correspondance "Aleph") et l'Arcane sans Nom (= "Mem") complement parfait de l'Arcane sans Nombre, le M.A.T., le tout s'exprimant dans la totalité du Monde (correspondance "Tav") par l'intermediaire de l'Arcane sans Nombre.
Ce qui est amusant, c'est que le carre SATOR vu ainsi regroupe la globalite des forums que tu as inities sur ton site :
- le Centre du Monde
- la lettre N inversee
- la Langue des Oiseaux
- les calvaires
- le Tarot
Bonne meditation...
A +

  
  
  
Intervention du 16 septembre 1999, de Pierre-Antoine Dumarquez

Bonjour à tous !
Lorsque l'on évoque le "mystérieux" carré SATOR, je suis toujours étonné que l'on n'en donne pratiquement jamais la solution, qui est tout simplement "PATER NOSTER" écrit en croix, précédé et suivi des lettres A et O (Alpha /Omega) ce qui indique très clairement le caractère chrétien de ce "mystérieux" carré magique (cf dessin)
A bientôt !
P.-A. D.



  
  
  
Intervention du 12 septembre 1999, de Troubadour Cluzel

bon soir
Sieur X-aviez
en fête ma quest-éon est basé sur l'idée que la langue hébraïque semble plus disposée à ce genre de manipulation car les lettres ont une valeur numérique intrinsèque...
la langue française étant elle plus portée sur les jeux de mots volatiles véhiculant de l'ésotérisme alchimique ou philosophique( langue franche ou celle de la vérité )
donc n'ayant pas d'intuition personnelle sur l'adéquation entre l'alaphabet français et les chiffres romains ou arabes, je cherche à comprendre la mécanique de ce rapport entre les 26 lettres de l'alphabet et les chiffres : je ne vois pas de raison simple qui permette de passer de 26 à 9, c'est pourquoi je vous pose la question sur la relation lettres-chiffres qui vous utilisez dans vos interventions
ps : en fait, l'utilisation ponctuelle des articles indéfinis dans les recherches de correspondances entre deux mots ou groupe de mots m'a surpris et donc a succité un doute dans mon esprit...
cordialement trouble adour cluz

  
  
  
Intervention du 31 août 1999, de Troubadour Cluzel

le X de la connaissance...
la croix du "multiplier par" mathématique...croissance peu spirituelle
formule peu mathématique mais au combien utile :
JE X(1) DONC JE X(2)
 ou X(1) est croire, "croyance"( "croi I en ce " > crois en ce I )
 et X(2) est croitre, "croissance" ( "croix sens"
sieur l'eon ( < noe'l )
j'ai pu lire vos intéressants écrits du site SATOR. J'en tire une question générale :
qu'est qui justifie la correspondance des lettres et des chiffres alors que pour obtenir une équivalence les chiffre se contractent et pas les lettres ( par exemple 13 devient 4 alors que M ne donne pas D )
en résumé : pourquoi ne pas partir sur une correspondance en base 26 au lieu de ramener les lettres en base dix ?

  
  
  
Intervention du 02 août 1999, de Xavier EON

L'X est aussi une lettre qui symbolise la connaissance. Croissez et multipliez dans la connaissance et la lumière.
Ceci du fait que cette lettre représente le croisement des recherches, des données, du commencement et de la fin se fécondant l'un l'autre. C'est la lettre qui symbolise la religion,
c'est à dire le fait de "relier" les choses et les êtres entre eux. C'est bien cela la co-naissance : associer ensemble, marier le haut et la bas, la terre et le ciel, les religions et la science, les traditions et les sciences humaines, pour en faire naitre une vision nouvelle et éclairée de l'homme et de Dieu.
Ainsi naissent des visions holitiques, etc. Le noeud de cet X, c'est le coeur, le centre - du monde ? de l'uni vers celle qui nous porte, lieu d'où tout nait et où tout revient.
C'est le coeur des significations, des signes du signeur-dieuX qu'il faut retrouver et relier à la partie.
Lie, lie et relie.

  
  
  
Intervention du 31 juillet 1999, de Xavier EON

Cher Roncelin,
mon guide et maître spirituel, André Bouguénec, conseillait de prier dans la position dont vous parler :
Les bras en croix.
Cette position permet un receuillement certain.

  
  
  
Intervention du 29 juin 1999, de Xavier EON

Oui, le croissez et multiplier est relatif à l'ESPrit qui se SPIRitualise de lumière en mouvement. Cette lumière symbolisée par le chiffre SIX, est en S'EXE (S'X) qui féconde la matière pour en faire naître l'Homme, d'Esprit et de Cour.
L'Homme dieu = 93 (A = 1, B = 2 . Z = 26) = LA SPIRALE = LA NOYAU, car la partie est dans le tout, comme le germe spermatique qui devient, associé à l'ovule, un fotus, puis un homme, et enfin un Dieu. Un dieuX (Jésus à dit : vous êtes des dieux), car il a croisé la fin avec le commencement des temps, c'est la fin qui féconde le début. La fin c'est : l'homme créé à l'image comme projet, pro-jection de l'Esprit de Dieu, qui veut en faire un Homme, un "vrai" (vir, viril, vierge et vertueux sont de même racine étymologique, et concernent aussi bien l'homme que la femme - là encore, le commencement des langues qui féconde la fin par une croisée des temps-pliés).
Le commencement : Dieu donne un ordre, qui est accompli à la fin : DIEU CREA L'HOMME A SON IMAGE = 216 = LE COMMENCEMENT DU MONDE = LE PREMIER ET LE DERNIER = LE SERPENT ET LA PENSEE (SERPENT - PENSER : voilà un troublant REN-VERSEMENT qui en dit long sur la GENESE de notre révolte). Cet ordre est un ordre d'évolution (EVO = OVE, ouf, germe de la vie) par le croissez et multipliez, mais évolution dans les ordres de l'UNIVERS, du COSMOS (ordre en grec), en de multiples vies et une lente alchimie de retour à l'androgynat perdu, tant rêvé et chanté par les poètes.
C'est le fils en croix qui revient prodigue et accompli, après un long calvaire. dans les demeures de la maison du Père, soit : des planètes d'incarnation sexuée, afin de découvrir son double.. D'où le SEXE, le S'X (voyez la publicité
du parfum, avec l'homme et la femme, entrelacés, LOVES (voir plus haut), avec le serpent tout près, prêt à in-spirer subrepticement quelques pensées à notre couple fondu l'un en l'autre (bonnes ou mauvaises ? Là est tout le choix, et l'enjeu de la TERRIBLE LIBERTE (mêmes lettres) de l'homme en accomplissement.
IN CARNATION de l'Homme : mise en chair, or chair veut dire coupé, séparé, un peu comme SEXE, justement. L'être double, sectionné de lui-même est en quête de sa moitié, masculine ou féminine, et ce sectionné devra devenir un X ionique (un être en croissance infinie et atomique).
Mais sur Terre, tout est à bâtir, et ce n'est pas ici qu'arrive enfin, "cette fois, la chair de la chair, l'os des os" (voir Genèse). Ce couple est aussi à bâtir par une sexualité du cour et de l'esprit, et pour cela, Dieu est le modèle, l'Un à revêtir par notre travail à toujours faire + et mieux. Car il est dit : "soyez parfaits comme mon père est parfait". Sous entendu : DEVENEZ un dieu. L'I du dieu, c'est ce sexe, qui donne la vie, et DEUX + I = DIEUX

  
  
  
Intervention du 13 juin 1999, de Troubadour Cluzel

chevalier de la lumière
( ces fameux éons ont donc une symbolique ? homme et femme à la fois ! celui qui réalise l'unification de ses deux principes... )
X : symbôle de la croissance,
je suis d'accord, deux croissances sont possibles :
1 - celle tournée vers l'extérieur ( du centre vers les extrémi
tés ) qui s'éparpille au quatre vents ( celle de l'unification d'un homme et d'une femme la caractérise, correspondant à la mauvaise interprétation biblique du " multipliez vous " pour croissez )
2 - celle tournée vers l'intérieur ( qui prend sa force des quatre coins du monde pour aller en son centre, les quatre membres de l'homme pour allez en son coeur ) pour rejoindre l'Unicité ( celle qui
consiste à réunir les deux principes masculin et féminin présent dans tout être humain, correspondant donc à une croissance spirituelle et non corporelle )
"homme dieu à l'image de dieu"
image est un terme bien dangereux qui prête à la même confusion du multipliez vous...
être à l'image du Un c'est matériellement impossible, tous les Hommes en sont un possible parcellaire si dieu existe, c'est l'homme, en devenir, potentiellement, intérieurementl'homme est dieu comme dieu est l'homme
encore ne faut-il pas confondre être et avoir sinon dieu ait l'homme et l'homme hait dieu..
de + :
X = croix = crois
je crois donc je croix
jeu volatile
"croissance" ou "croix sens" voir "sans croix"
autre croix : l'egyptienne
croix ancée, croix ance, croissance
( il est amusant de noter qu'elle est devenue croissant avec l'islam, elle aurait donc perdu son E, sa matérialisation terrestre ? )
trouble adour cluz
lichen-kether...

  
  
  
Intervention du 09 juin 1999, de Roncelin

Bonsoir
Avez-vous remarqué les bras de Pharaon lors de sa mise au sarcophage? ils sont en forme d'X afin de symboliser s
on entrée dans la lumière.

  
  
  
Intervention du 26 mai 1999, de Xavier EON

L'X, c'est la croix , de la croissance, recoupée par le croissez et multipliez de la Genèse. Ce croissez et multipliez adressé au couple pouvait et devait être pris, pour qui voulait rentrez dans les ordres, comme le signe qu'il fallait faire croître la spiritualité dans le couple Homme-Femme.

Croissance de la lumière
que représente aussi cette croix de St André. Andros, l'Homme réalisé, à l'image de Dieu, est un X, un homme dieu en croix pour sa croissance laborieuse.

L'Homme dieu, cela signifie l'HOmme accompli à l'image de Dieu, mâle et femelle. SI vous regardez la première lettre de l'alphabet, le A, vous voyez là la représentation de deux parties différentes et complémentaires : l'Homme et la femme, que sont les deux barres obliques, reliées entre elles par un "trait d'union" qu'est l'esprit, lorsqu'il féconde l'autre.

Le trait d'union, c'est le rayon de Soleil, inséminant la matière de l'un et de l'autre. D'où l'X, car arrivé en fin de parcours, cet être a parfaitement partagé ses potentiels, croisé entre eux. C'est là une clé formidable pour l'église, l'ékklésia, car la religion, mot qui veut dire "relié", a pour but le véritable rassemblement, le croisement des êtres pour leur édification, avec  le Père comme guide dans ce viatique étoilé.  Mettez l'X au dessus d'un +, et vous avez ceci : ¯

: la lumière qui brille dans les ténèbres. Le Plus symbolisant la croissance de l'amour.

Tout ceci est tiré de l'ouvre d'André Bouguénec.

  
  
  
Intervention du 18 mai 1999, de Troubadour Cluzel

\/
/\
le X serait la convergence de quatre traits ? ( 4 cardinaux-matière, 4 éléments-énergie, 4 saisons-temps )
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si je les dissémine au vent voilà que j'en perds le centre pour obtenir quatre éléments séparés et j'obtiens N sous une forme peu romaine IIII ( comme le numéro de la carte de l'empereur ! ) celui qui possèderait donc les quatre éléments du monde mais n'en aurait pas fait la synthèse, n'aurait donc pas de centre, il n'a pas trouvé le chemin du coeur, de la Réalité, il resterait souverain d'une réalité démembrée, illusoire mais si proche...

  
  
  
Intervention du 15 mai 1999, de katalina

c'est vrai le pendu vit l'illumination par la prise de conscience, en n'étant plus soumis à l'apparence, il découvre l'envers du décor. c'est une carte de sacrifice. c'est la perte qui permet de se détacher des sentiments qui enchaînent la conscience humaine. grâce à ce détachement l'être se rapproche de sa liberté, non dans l'apparence mais dans la conscience. je me demande même si le pendu ne rejoint pas le N inversé ?

  
  
  
Intervention du 14 mai 1999, de Troubadour Cluzel

le pendu du tarot ne serait-il pas porteur de lumière lui aussi :
il croise ses mains derrière son dos ( X )
il semble heureux ( sa bouche forme un U )
et sa jambe droite à l'équerre ( L )
l'heureux pendu renversé nous dessine L.U.X, il devient l'illuminé pendu... d'ailleurs se pendre par les pieds fait monter le sang à la tête, révèlant ainsi le coeur à l'esprit, d'où l'illumination prédécrite

  
  
  
Intervention du 19 avril 1999, de Troubadour Cluzel

lucifer
lux fier
lumière faire
le faiseur de lumière

fier serait faire d'aprés le livre «hieroglyphes français et langue des oiseaux»texte de Emmanuel (Yves Monin)
exemple :
deifier = d'E fier I
faire I de E
diviniser quelquechose de terrestre
déifier un homme

edifier = E d'I fier
faire E de I
concrétiser sur terre une idée divine
édifier une église

divin = d'I venir
d'ailleurs je me pose la question :
dieu = d'I E u
concrétisation terrestre du principe divin ?

  
  
  
Intervention du 15 avril 1999, de Tony Bontempi

Bonjour,

Je suis heureux d’avoir reçu votre courrier qui éclaire votre point de vue. En effet, il est important de noter les consonances troublantes entre les mots, mais il est tout aussi important de savoir s’il s’agit là de leur racine, c’est-à-dire de leur réelle signification selon l’étymologie, ou, justement, d’une simple consonance. Donc, « Louxor » est un mot arabe, mais la première syllabe apparaît troublante lorsqu’on la rapproche du mot latin « lux » et que l’on sait que ce temple était dédié au dieu solaire. Je suis entièrement d’accord sur ce point. Quant à savoir s’il s’agit d’un hasard, ou bien, comme vous le supposez, d’éléments enfouis dans l’inconscient collectif ou d’une origine ancienne commune, je ne me prononcerais pas. Mais votre idée est très intéressante : pourrait-il y avoir une origine commune des langages et des mots, très ancienne ? Je n’ai pas d’éléments assez significatifs en main pour me prononcer. Il faudrait, pour répondre à cette question, étudier les différents langages originels et leur évolution au cours des siècles, ainsi que leurs interactions avec des langages voisins, la reprise et les modifications apportées à ces langages par d’autres peuples, la confusion des langues, etc. En bref, un travail énorme, une véritable thèse qui n’est pas à ma portée. D’autant plus que les vrais langages originels sont perdus depuis longtemps (allez savoir comment parlait Cro-Magnon !) et que de nombreux autres langages, ainsi que les écritures qui les accompagnaient s’il était besoin, ne nous sont pas parvenus, ou ont tant évolué qu’il serait impossible d’en retrouver les véritables origines. Donc, il resterait après un tel travail de nombreuses lacunes, mais je suis certain que l’on pourrait ainsi répondre en partie à la question que vous posez. Une telle thèse a-t-elle déjà été effectuée ? N’y a-t-il pas, parmi les études de Umberto ECO sur ce sujet, des éléments de réponses ? M. ECO a écrit un livre au sujet du langage. Peut-être pourrait-il vous aider. Il s’agit de "La Recherche de la Langue parfaite dans la Culture européenne". Et je pense que l’on peut retrouver ce sujet dans d’autres ouvrages de Umberto ECO. Au sujet de l’écriture, il se trouve qu’il existe un excellent site traitant du sujet sur http://www.bnf.fr/. Attention à ne pas confondre le langage avec l’écriture, car bien que se rejoignant, leur évolution est, sur certains points, distincte. Pour la sculpture en langue des oiseaux, je dois dire que je ne suis toujours pas convaincu mais… je dois avouer aussi qu’à la suite de votre courrier, plane chez moi un doute. En effet, c’est principalement le « U » qui me gênait, car il n’est pas clairement « écrit » dans la sculpture, et il faut donc rajouter un zeste d’imagination pour le voir. Mais le « L » et le « X »… sont troublants, d’autant plus que le Christ est associé à la lumière, messie oblige ! Pas convaincu, peut-être le hasard, mais… cela me fait réfléchir !
En ce qui concerne « Lucifer » en temps que nom primitif du Christ, je ne suis pas tout à fait d’accord. Mais c’est un autre débat. Par contre, il est vrai que « Lucifer » signifie « Porteur de Lumière ». D’ailleurs, la luciférase est une enzyme des organes lumineux de certains animaux ; la luciférine, substance contenue dans ces organes lumineux, s’oxyde en présence de luciférase provoquant ainsi une émission de lumière. L’étymologie du nom « Lucifer » ne fait donc aucun doute.

A bientôt. J’essaierais de vous trouver « dragon » et « cheval » en arabe.

Tony

  
  
  
Intervention du 13 avril 1999, de Gauth17

Reponse au message de Tony date du 11 avril 1999:

J'aimerais clarifier ma methodologie en ce qui concerne la manipulation des consonnances dans differentes langues, car l'intervention de Tony montre qu'il y a un "manque" de ma part a ce sujet
Je suis parti du principe, en suivant la trace d'autres auteurs avant moi, qu'il y aurait des sons, tres peu nombreux, qui se retrouvent dans beaucoup de langues et qui expriment des concepts similaires a toutes ces langues, quelles que soient les cultures. Je sous-entends la soit une origine commune ancienne, de type pre-Babel, soit une tendance a un "inconscient collectif". Qu'importe, la n'est pas le sujet, certains resument ce mystere par "La Tradition".
Dans mes etudes je tente de rester general en parlant de "lumiere/connaissance" pour le X, du "pouvoir/election" pour le KRN, ou de force destructrice pour le DRK.
Il est evident, et Tony nous apprend beaucoup a ce sujet sur le sens de certains mots arabes, que ma methodologie a ses failles, et ces failles consistent a se focaliser sur les mots en particulier, surtout sachant que ceux-ci sont utilises dans nos differentes langues modernisees. Je ne voudrais surtout pas tomber dans ces failles.
Lorsque je cite Louxor ou Karnak, il m'importait peu (a cause de mon ignorance en la matiere) de savoir ce que les mots signifiaient exactement. J'aurai connu leur vrai sens, cela m'aurait peut-etre rendu plus hesitant au premier abord. Par contre que Louxor et Karnak soient associes a Ra, le Soleil, etait le point capital... car c'est au travers des siecles la seule chose qui reste reconnue universellement, comme tout ce qui concerne la Tradition.
Je dirais donc que oui, "Louxor" ecrit "El Ksar" signifie certainement "Les Palais", mais il n'empeche, comme Tony le dit, que ces palais sont associes a la lumiere. Alors qui de la poule ou de l'oeuf? Louxor entraine les palais de "lumiere" ou "lumiere" a entraine indirectement Louxor. Je ne veux pas rentrer dans ce debat car il est impossible de rien prouver. Mais le concept est la et c'est tout ce que je voudrais que l'on retienne dans ma demonstration. Parce que j'entends X dans Louxor ne signifie pas que Louxor signifie lumiere, mais je retrouve quand meme une enorme association a la lumiere. Je refuse alors l'excuse du hasard car il ne s'agit pas d'un exemple isole
Pour la "sculpture en langue des oiseaux", il est vrai que ma photographie est peu parlante. Lorsque l'on se trouve dans l'eglise que je cite, je vois tres bien le L des bras de l'ange de gauche et le X des bras de l'ange de droite. J'admets que le U demande un peu d'imagination. LUX semble alors logique lorsque l'on se rappelle qu'un des noms initiaux du Christ etait "Lucifier", le porteur de lumiere. Je suis decu que l'on ait du mal a voir LUX dans cette sculpture. Je tenterai de faire une meilleure photographie. Pour rendre a Cesar ce qui est a Cesar, j'aimerais profiter de cette intervention pour signaler que la lecture de cette sculpture (ainsi que les "chouettes" dans Paris) nous a ete faite originellement par Richard Khaitzine, specialiste moderne de la langue des oiseaux lors d'une visite guidee de cette eglise organisee par l'association Atlantis en 1997.
Or en cette matiere, il est tres difficile de "prouver" quelque chose. Ce qui me permet, personnellement, de valider la lecture sculpture=LUX est le fait que l'on y lit clairement L et X, ce qui ne peut etre un double hasard, et que le Christ est le Lucifer chretien des origines. Mais en cette matiere, chacun doit rester libre d'y lire ce qu'il veut, la sculpture parlante n'etant qu'un "support" a l'evolution personnelle de chacun et dependant de facon tres importante de la culture religieuse et/ou esoterique de chacun. C'est ce que les alchimistes nomment un "logis philosophal".
Tony, continuez a critiquer de cette maniere, c'est vraiment la facon la plus constructive, cela amene a plus de rigueur dans la clarification des methodologies et a un travail plus riche de sens. Je serais en particulier tres interesse de savoir comment se disent "dragon" (ou "monstre") et "cheval" en arabe.
Gauth17

  
  
  
Intervention du 11 avril 1999, de Tony Bontempi

Bonjour,

Tout d’abord, j’admire votre démarche consistant à étudier l’ésotérisme le plus rationnellement et le plus objectivement possible, étant moi-même partisan de ce genre de technique. J’ai lu votre très intéressante étude sur la lettre « X », mais je trouve que certains points sont peu clairs et d’autres mal établis. Je reviendrais donc ici sur ces points.
Dans votre relation de l’ « X » à la lumière, vous citez le temple de Louxor en disant que l’on retrouve dans ce mot la racine « lux », c’est-à-dire « lumière » en latin. Au niveau ésotérisme, il est intéressant de noter la consonance entre la première syllabe de « Louxor » et le mot latin « lux ». Mais je doute fort que la véritable étymologie de «Louxor » nous donne « lumière », puisque ses racines seraient plutôt arabes. Je pense qu’il est bon de le préciser pour ajuster votre démonstration. D’après mon beau-frère algérien, le mot arabe « Ksar » signifie « palais », et pour lui « Louxor » désignerait « les palais », au pluriel. Pour le Karnak égyptien, le mot est encore une fois arabe, mais a depuis longtemps été abandonné dans le dialectal égyptien. Il se maintient au Soudan où il signifie « village fortifié » ; en Afrique tchadienne et dans le Chari-Logone, où les dialectes locaux l’ont emprunté à l’arabe, il désigne des buttes couvertes de décombres, des murs détruits, des espaces emplis de tessons, en bref les habitats d’ancêtres que l’on ne connaît pas, ce qui devait être son sens premier lorsqu’il apparut dans l’arabe d’Egypte. Un rapprochement intéressant pour votre étude : l’ensemble Louxor-Karnak était dédié à Amon-Rê, dieu solaire, et l’on retrouve donc ici la lumière. A propos du Carnac breton et des cairns, rien d’étonnant à ce que l’on retrouve la sonorité KRN dans ces deux mots puisqu’ils semblent avoir la même étymologie. Voici ce qu’en dit le CD Universalis : « Les alignements de Carnac ont sans doute été construits vers 3000 avant J.-C. On pense qu’ils comptaient alors environ 10 000 menhirs. Il s’agit vraisemblablement de monuments religieux, associés au culte des morts. Ce qui est la fonction du menhir isolé ; mais « Carnac » signifie aussi « le lieu des carn(s) », et « carn » , dont le génitif « cairn » a passé en français et en anglais, est un mot celtique qui désigne « un amas de pierres sur une tombe ou un amas de pierres évoquant une mort ». « Carn »  a encore ce sens en irlandais moderne. » Pour finir, j’ai été très déçu par la « sculpture en langue des oiseaux » car je trouve que vouspoussez là votre raisonnement trop loin. Cette sculpture me paraît bien peu parlante et je trouve qu’il faut de l’imagination pour y avoir découvert le mot « lux ». A mon avis, il s’agit d’un hasard.

Bonne continuation sur votre très beau site. J’irais lire prochainement vos autres études, et encore bravo pour votre approche de l’ésotérisme.

Tony

  
  
  
Intervention du 7 janvier 1999, de Troubadour Cluzel

• X prononcé I X E
I = principe divin
E = manifestation tridimentionnelle
Le X agit donc comme un focalisant , il transforme le divin en terrestre.

• L'esprit divin est par le X, prisme, concrétisé en lumière.
• Le X n'a pas de sens, il peut être lu, agir, de n'importe quel point cardinal, symétrie absolue pas de haut, de bas, de droite, ou de gauche
• Il est le point unique d'où se dispensent des énergies aux quatre coinx du monde.
• Il contient aussi le point de rencontre entre ce qui vient d'en haut et ce qui vient d'en bas, union des forces telluriques et des forces cosmiques.
X permet l'union et la métamorphose

  


F
o
r
u
m

L
a

L
e
t
t
r
e

X

-

P
a
g
e

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 Dernière modification: le 15 janvier 2000