GRASSET D'ORCET
IntroductionNombreuses sont les chercheurs qui ont été intrigués par les décodages souvent énigmatiques de Grasset d’Orcet. Plus d’un y ont surtout vu une certaine “folie” de cet auteur, sur les points de vue à la fois littéraires et historiques. Il y a pourtant apparemment une logique dans le décodage de cet auteur, et nous avons décidé, devant la difficulté à “penser” et “lire” en ancien français, de réunir tous les décodages de G. d’Orcet sous forme d’un index. Cet index permettra ainsi de décoder ou de coder, les mots listés renvoyant aux exemples extraits directement des articles de G. d’Orcet. L'expérience étant de tenter de prouver que cette méthode est reproductible, et non intuitive. Seul le temps et la critique nous le dira. Il est évident que ce travail, très enrichissant, est en constante évolution, et extensible à tous types d’auteurs similaires (Fulcanelli, Canselier, ...).
AvertissementsIl n’est pas de notre domaine de juger du sérieux des décodages effectués par Grasset d’Orcet. Le fait que des personnalités comme Fulcanelli et Pierre Dujols (qui sont certainement la même personne, d'ailleurs) en aient fait mention est déjà le garant que sa méthode de décodage, ou de codage, a été véritablement utilisée et respectée. La façon dont un certain auteur maçonnique nommé Gibet s'en sert dans ses récents ouvrages est à ce point remarquable qu'on ne peut négliger l'étude de cette technique. On renverra aussi les amateurs de Rennes-le-Château à la relecture du livre "La vraie Langue Celtique" de l'abbé Boudet qui est similaire par son approche. Grasset d’Orcet donne lui-même les règles de décodage des devises hiéroglyphiques du blason que nous résumerons ainsi: Elles se composent de vers de six à huit syllabes, terminées par une syllabe où entre la lettre L, que le nom de l’”écusson cartel” ou “carrel” fournit aux devises les plus courtes. - Tout dessin blasonné doit se déchiffrer en commençant par les pieds (de bas en haut). Il nous précise aussi les règles simples du lanternois, comme découvertes chez Rabelais: - Le lanternois ne tient pas compte des voyelles.
Ces indications sont bien minces, et il n’a pas détaillé ses décryptages. Aussi la liste d’exemples que nous présentons ici n’ont quelquefois pu être tous vérifiés (les sources de Grasset d’Orcet sont incertaines et sa méthode non scientifique, ce qui est un des principaux reproches que l’on puisse lui faire).
Dans les cas où nous n’avons pas suivi le décodage de l’auteur, nous ferons suivre le passage ou le mot concerné d’un point d’interrogation (?).
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